Drôle d'otage...
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fhhh,
uniforme,
hotel,
photofilm,
facial,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
policier,
... ouvraient les coffres, les caisses, remettant tous les fonds disponibles aux braqueurs. Il régnait une tension insupportable, une femme pleurait, allongée sur le sol comme les autres clients. Tout roulait comme prévu… jusqu’à ce qu’une sonnerie résonne, assourdissante. — Les enculés ! hurla Goran.— On se tire, on a fait le plein ! cria Dejan en emmenant Nadège de force. C’est du moins ce que crurent toutes les personnes présentes dans l’agence bancaire. — Attends, attends ! Zlatko stoppa ses complices dans leur élan. — Ouvre ça, connard, ou je te bute ! Zlatko menaçait un des employés, posté en bas des escaliers. L’énorme porte du coffre-fort principal s’était refermée sur Nenad, piégé alors qu’il finissait de remplir son sac de billets. — Je n’ai pas la clé.— Je bute la cliente, magne-toi ! hurla Dejan. Un tel accent de vérité résonna dans la voix de son amant qu’un frisson parcourut le dos de Nadège. Non ! il ne pouvait pas faire ça, pas pour de l’argent ! L’employé se résigna. Zlatko dévala l’escalier et récupéra Nenad, sans oublier d’assommer pour le compte le menteur d’un coup de crosse rageur derrière la nuque. — On perd du temps… putain ! murmura Dejan. Enfin ils purent sortir tous les cinq, les voitures les attendaient en double file, Anton et Emir pied sur l’accélérateur. Pendant une demi-seconde, Dejan se demanda bien pourquoi Zlatko avait vidé son chargeur sur les voitures de flic qui les encerclaient. Puis il fit de même pour sauver sa peau… JOUR J, Heure H + 4 ...
... heures — Ensuite, Dejan m’a forcée à me cacher sous la voiture, sans bouger. Et, quelques minutes après, il a tenté de s’enfuir et vous l’avez abattu dans le dos comme des salauds ! Nadège pleurait. Le Tallec et Girardet ne répliquèrent pas à l’insulte. D’ailleurs, ils avaient à peine écouté le récit du braquage, leurs pensées divaguaient en s’imaginant cette femme si sensuelle être baisée par cinq hommes ! — Alors, je vais avoir droit à quoi maintenant ? demanda Nadège, toujours des sanglots dans la voix, le regard absent.— Ça dépend, ça dépend de toi, en fait, répondit le capitaine. Il jeta un œil complice vers sa collègue dont il connaissait les orientations sexuelles. Le Tallec se leva, fit le tour de son bureau et s’approcha de Nadège. Il posa sa main dans ses cheveux, imprimant une douce caresse. — Je peux encore écrire qu’ils t’ont forcée à prendre les billets, que tu étais vraiment là par hasard, tu vois ? C’est dommage de finir en taule quand on est une aussi belle jeune femme que toi. Nadège baissa la tête. Elle avait capté plusieurs fois les regards des deux flics sur son corps. — Et si je me montre très gentille avec vous ? souffla-t-elle.— Alors là, on pourra passer un accord, sourit Marie, l’obligeant à se lever. Elle l’embrassa dans le cou, passant sa main dans le col de la veste, elle caressa les seins puis les abandonna pour descendre vers la jupe de l’instit. Elle la releva et empoigna la chatte de Nadège au travers du fin tissu de la culotte. Marie approcha ...