1. Drôle d'otage...


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, ff, fhhh, uniforme, hotel, photofilm, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, policier,

    ... énorme, qui avait remplacé celle de Zlatko. Elle se sentait plus salope que jamais, totalement abandonnée au stupre. Les types la caressaient, profitaient de son corps dans les moindres recoins. Ils se jetèrent des coups d’œil. — Allez, les gars, on va la décorer comme elle le mérite, lança Goran. Ils se retirèrent, l’obligèrent à s’agenouiller au centre du tapis puis formèrent un cercle autour d’elle. — Ne rate surtout pas ça, Anton ! hurla Zlatko au comble de l’excitation. Les cinq types de se branlèrent activement, faisant taper leurs queues sur le visage et les cheveux de Nadège. — Ah oui, tu es trop bonne, ma saloooope ! Anton, sans lâcher sa caméra, fut le premier à décharger le foutre sur le visage de Nadège. Trois jets de sperme l’atteignirent au front et dans les yeux, dégoulinant vers son menton. Les quatre autres suivirent, lui offrant sa première douche de sperme. Ils s’étaient littéralement vidés sur l’institutrice dont le visage était maculé d’une couche épaisse d’un jus blanc laiteux. Des traînées de foutre glissaient sur ses mamelles tendues et sur ses cuisses. Ils ne l’avaient pas ratée. — Filme bien, Anton, filme tout en détail, elle est belle, cette salope ! Le jeune ne rata pas une miette du spectacle offert par la jeune femme recouverte de semence chaude. — N’arrête pas de filmer, Anton ! Dejan sortit de nulle part, écarta ses complices. Il s’était branlé en regardant la femme de sa vie être prise par tous les orifices, et la voir se donner autant, ...
    ... sans aucune pudeur, l’avait d’abord surpris avant de mettre le feu à ses couilles et à sa queue. Il se branla sur le visage de sa belle et lui administra la dernière couche de sperme, la plus épaisse. — Ah, comme ça tu es encore plus magnifique, mon amour.— C’est dans la boîte, assura Anton.— Eh bien, comme ça on l’a, notre garantie ! lança Zlatko, rassuré, mais aussi ravi par la tournure des événements. Dejan se pencha vers Nadège et lui baisa le front où perlait encore la semence. — Bienvenue au club, ma chérie, lui chuchota-t-il à l’oreille. JOUR J, Heure H Nadège pénétra dans la banque. L’oreillette fonctionnait, elle était invisible pour qui ne se penchait pas à moins de dix centimètres de l’institutrice. En tailleur, talons et collier de perles, elle représentait la bourgeoise parfaite, venant placer l’argent gagné par un mari riche et trop occupé pour s’abaisser à régler ce genre d’affaire. — Tout va bien ? demanda Dejan, planqué dans une des deux voitures garées une rue plus loin. Nadège ne répondit pas. Elle scruta les alentours. Tout était en place comme dans les repérages. Un seul vigile se baladait dans la luxueuse agence, il n’y avait pas beaucoup de clients. — Oui, murmura-t-elle discrètement au micro placé dans le revers de sa veste. C’était le signal ! Moins de cinq minutes plus tard, elle se retrouvait prise en otage, le AK47 de Dejan braqué sur la tempe. En voyant une de leurs clientes sous la menace, les employés de la banque, sur ordre de leur directeur, ...
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