1. Drôle d'otage...


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, ff, fhhh, uniforme, hotel, photofilm, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, policier,

    ... préparation du braquage dont elle avait décidé de faire partie. Et aussi de ce rendez-vous en banlieue avec les cinq autres membres du "commando". Il s’agissait de la première rencontre entre elle et ces hommes. — Calme-toi, chéri, ça va bien se passer. Dejan sourit et passa la main sur la cuisse de Nadège : — Tu es sûre de vouloir faire ça ?— C’est la seule solution que nous ayons trouvée non ? coupa sa maîtresse. Pour la prise de contact, il ne l’avait pas obligée à porter les vêtements qui le faisaient bander. C’est donc en jean, débardeur moulant, surchemise et escarpins à fins talons que l’institutrice débarquerait dans l’appartement de Goran, l’un des " cerveaux" de l’affaire. Les deux amants ne firent qu’échanger des banalités, se taisant le plus souvent, jusqu’à la porte de l’appartement, au 8e étage d’une barre de Créteil. Il frappa trois coups rapprochés puis deux coups distants en guise de code. Goran ouvrit, sourire aux lèvres, détendu. — Voilà enfin la belle Nadège, entrez, mes amis. Ils pénétrèrent dans l’antre banal, loin de l’idée que s’en était faite Nadège. Elle s’attendait à un logis vide où trôneraient simplement quelques chaises, une table et des armes. En fait, Goran vivait vraiment là. Sous un faux nom… Ils se plantèrent au milieu du salon, Dejan fit les présentations. — Nadège, tu as déjà vu Goran ; voici Zlatko, Nenad, Anton et Emir ? Les types ne se levèrent pas, mais la saluèrent d’un geste de la main. Ils avaient tous l’âge de Dejan, plus ou ...
    ... moins, sauf Anton qui semblait sortir de l’adolescence. Ils n’étaient pas aussi beaux que mon homme, songea Nadège, qui visait en particulier Zlatko dont le visage était traversé par une balafre probablement récoltée après un coup de couteau. Au final, hormis Dejan, ils avaient tous " la tête de l’emploi" … — Asseyez-vous ! invita Goran. Zlatko prit la parole : — Nadège, nous ne sommes pas là pour parler du plan, il y aura d’autres réunions. Nous sommes là pour, comment dire… valider ta participation. L’instit ne bronchait pas, mais son cœur se mit à battre de manière déraisonnable… — Dejan nous a parlé de la garantie que tu nous offres, celle que tu ne nous mettras pas en péril. Tu es une belle femme, Nadège. Nous allons donc te baiser comme tu le souhaites. Nous allons te baiser et te filmer, te prendre en photo, telle sera la garantie. Ce film, nous le garderons jusqu’à la fin de l’opération. Es-tu toujours d’accord ? Nadège répliqua froidement : — Bien sûr, puisque c’est mon idée ! Elle se retourna vers Dejan dont les yeux fixaient le parquet. — C’était la seule solution, mon amour, la seule, en tout cas la moins risquée pour moi et pour ma famille. Les cinq types se levèrent, s’approchèrent de Nadège en portant la main à leur braguette et en commençant à se branler au travers de leur pantalon. — Allez, Nadège, fit Zlatko, montre-nous tes talents. Dejan nous a dit le plus grand bien de toi. Le clin d’œil du Serbe se voulait rassurant et complice. Elle se retourna une dernière ...
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