À la ferme
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
campagne,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... Les vieilles de la ville qui, après avoir épuisé leurs maris, se retirent chez nous pour des raisons d’argent et qui nous considèrent comme des « culs terreux » ou des « incultes ». Il ne fallait pas me tendre la perche ou plus exactement me donner le bâton pour les battre. C’est venu de l’idée saugrenue d’une animatrice demandant qui voulait raconter un souvenir marquant de sa jeunesse. J’avais l’impression de me retrouver à l’école où, chaque année, on nous demandait de raconter nos vacances. Ma douce Martine est partie depuis longtemps et comme nous n’avons pas eu d’enfants, personne ne peut s’offusquer de mes révélations. Vous auriez vu la tête des gens ! Rien que pour cela j’aurais donné un an de vie. Le plus surprenant c’est que personne n’a douté de mon histoire. Il est vrai que, rare homme parmi ces femelles, j’ai une certaine « stature ». Certaines, des compatriotes, viennent parfois partager le secret de mon lit. Quelquefois, c’est juste pour le souvenir, mais quelquefois certains réflexes reviennent et nous passons un agréable moment. Elles, savent que je n’ai pas menti pour l’épisode de ma grande queue. Ce soir, après le dîner, alors que je suis retourné dans ma chambre, me remémorant encore ce moment où je les ai scotchés à leur fauteuil, on frappe : — Oui. En pensant que c’est une assistante. — Je peux entrer ? me demande Lucile, pensionnaire comme moi de cet établissement. Ah, Lucile ! Fraîchement arrivée, encore jeune dans sa tête de Parisienne, toujours en ...
... retrait, hautaine dans ces tenues élégantes. — Bien sûr, que puis-je pour toi ?— Eh bien… C’est-à-dire… Tout à l’heure, tu as… Hypocrite je demande : — J’espère ne pas t’avoir choquée de mes confidences. Mais il y a prescription ! C’est si loin !— Non, non, pas du tout. Je me demandais juste… Ce n’est pas facile… C’est au sujet de tes sculptures…— Mais bien sûr. Je comprends. Approche, je vais te montrer. Je les ai toutes gardées. Je sors une valise de mon placard. Enveloppés dans du papier soie, j’extrais mes œuvres. Elles reposent sur le lit. Lucile les regarde. Ses yeux brillent. — Je peux les toucher ?— Bien sûr. Tiens prends celui-ci. Alors qu’elle saisit le sexe dans sa main, je sens ma propre verge se réveiller. Elle me fait de l’effet, la Parisienne. Sous ses habits, je devine des formes encore fermes. Je suis certain que sa poitrine a déjà été refaite et qu’elle s’épile encore le minou attendant le prince charmant. Lorsque je pose ma main sur son épaule, elle ne recule pas. Lorsque je pousse le gode vers ses lèvres maquillées, elle ne le refuse pas. Lorsque je glisse ma main sous sa jupe, je cherche, je cherche, mais ne trouve pas de culotte. Elle a bien suivi mon récit. Attends, ma belle, je vais te montrer qu’à la campagne on connaît encore comment faire jouir une bourgeoise. Je vais te prendre par tous les trous, mes sculptures vont m’y aider, et demain les autres pensionnaires, ceux qui ne sont pas sourds, vont faire des remarques sur les cris qui provenaient de ma ...