1. À la ferme


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fhh, couple, inconnu, campagne, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... qu’elle est, elle aussi, couchée sur son amant. Comment décrire ce que je lis ? La surprise ? La douleur ? L’étonnement ? Le plaisir ? Un mélange de tout que même ma vision acérée n’arrive pas à dissocier. Moi-même, je peux suivre le long de ma propre verge, le long cheminement de ce serpent que le garçon pousse au cul de Capucine. Ainsi, c’est faisable. Ce n’est pas un délire d’écrivain, imaginatif et pervers. Capucine et Martine sont bien prises par deux hommes en même temps, baisées et enculées. Le reste n’est plus que plaisir. J’oublie un instant ma femme pour profiter de ma maîtresse partagée avec un autre amant. Quelle étrange sensation que de devoir s’adapter à son rythme, sentir son bâton se frotter au mien et même le sentir éjaculer. Capucine s’est terminée sur ma queue et j’ai attendu le dernier moment pour balancer ma purée. Le lendemain, lorsque le réveil a sonné, j’ai mis un moment à émerger. Une rapide toilette, quelques tartines et je suis parti à l’aube pour retrouver des confrères et moissonner avec eux. C’est en rentrant à la ferme que j’ai commencé à comprendre que je n’avais pas rêvé. Nos campeurs étaient partis et un tour dans la grange m’a confirmé que le repas, et le reste, étaient bien réels. Martine n’a rien dit. Moi non plus. Il y a des sujets qu’il ne faut pas aborder. Je me sentais coupable. J’imagine qu’elle aussi. Coupables mais pas responsables. Au fil des jours, les regrets sont arrivés. Oh, pas les regrets de ce que nous avions fait ou laissé ...
    ... faire. Non, regrets de n’avoir pas l’occasion de recommencer. Mais la vie est là et continue. J’ai un petit don, j’aime le bois. J’aime et je sais donner des formes aux branches et morceaux récoltés en forêt. À l’époque, c’était innovant. Maintenant, c’est un business. Donc, je disais, je sais sculpter, poncer, polir, vernir le bois pour lui donner des formes surprenantes. Tout naturellement, je me suis fait une spécialité du sexe de l’homme. Sexe en érection, bien sûr. Martine a été surprise la première fois lorsque j’ai révélé à ses yeux, mon premier gode. Mais bien vite, elle en a apprécié l’usage que j’en faisais sur elle. J’ai même sculpté, dans une branche qui m’avait inspiré, un double pénis qui pouvait s’utiliser pour occuper ses deux trous. Car, la nostalgie, est une chose. Nous n’avons jamais reproduit cette soirée, mais comme nous avions découverts des plaisirs nouveaux, mes objets nous ont permis de se substituer aux vraies queues d’hommes. Voilà. Voilà le récit que je viens de faire devant cette petite assemblée, en cette fin d’année 2013. J’ai 76 ans et je vis dans la maison de retraite de mon village. Il faut dire qu’ils m’avaient énervé. Aussi bien ces jeunes assistantes, imbues de leur jeunesse, que certaines pensionnaires originaires de la grande ville et qui viennent dans nos campagne car les tarifs sont plus raisonnables. Ils sont tous à mettre dans le même sac. Les jeunes qui pensent avoir tout inventé, comme si avant eux nous n’étions que des primates. ...