Gavage dans le garage (1)
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
Trash,
Ceci est censée être l’épilogue d’une série d’histoires élaborées à partir des fantasmes de mon ex-femme. Elle interviendrait une dizaine d’années après celle intitulée "La Visite au Bureau". Bonne Lecture... Dans la pénombre, il lui emplissait les narines. Et aussi la bouche. Et même si elle ne pouvait pas distinguer clairement son visage, elle aurait pu donner à qui voulait l’entendre l’identité de celui qu’elle était présentement en train de sucer. Dans la pénombre, l’odeur de son pubis lui emplissait les narines. Dans la confusion qui s’était emparée d’elle, le goût de sa virilité avait envahi son esprit. Elle avait l’impression que son cerveau était plein de lui. Que les moindres recoins de la pièce où elle se trouvait portaient désormais son odeur Et ça l’enivrait. Depuis un petit moment déjà de temps à autre, elle laissait le gland turgescent de M. Jacques franchir ses lèvres pulpeuses, se glisser hors de sa bouche fiévreuse et venir se déposer sur son visage. Elle prenait alors toujours grand soin d’y laisser au passage, une généreuse quantité de salive afin qu’il soit toujours humide et parfaitement lubrifié. Elle humait ensuite avec empressement les effluves de ce sexe qu’elle avait appris à aimer, et qui, elle devait bien le reconnaître, lui avait manqué. Elle savait qu’à tout instant, il pouvait brutalement venir reprendre sa place au fin fond de sa gorge. Elle savait qu’elle serait surprise par la violence de l’assaut qui ne manquerait pas d’arriver quand il ...
... aurait décidé de lui titiller les amygdales ; et qu’elle ne parviendrait peut être pas à s’empêcher de laisser échapper quelque gémissement plaintif après avoir eu de violents haut-le-cœur ; qu’elle tairait, de toute façon. Mais pour le moment elle lui reniflait bruyamment les couilles, gonflées de désir et toute poisseuses de tout ce crachat qu’elle distribuait avec une prodigalité que peu lui connaissaient. Elle ne put s’empêcher de les lécher furtivement avant de continuer à s’imprégner du délicieux fumet. Elle adorait ça, les odeurs de couilles et de bittes. Et celle-là, un peu plus que les autres. Elle était d’ailleurs certaine qu’il avait fait exprès de ne pas se laver avant de venir la rejoindre parce qu’il savait que son odeur de mâle, son odeur de dessous-de -couilles-mâtinée-de-sueur-de-fin-de-journée, la rendrait proprement folle. Et ça avait marché. Et là, tout de suite, avec cet homme-là, elle savait qu’elle pouvait laisser libre cours à ses plus bas instincts et à ses penchants sexuels les plus vils. Elle pouvait se lâcher et se la jouer salope de compétition, pompeuse de bas étages ; dans la cage d’escalier crasseuse d’une cité, préparatrice-redresseuse de pénis de baiseurs professionnels sur un tournage de film x . Ces rôles, elle les avait déjà tous tenus dans sa vie passée, sans exception aucune, il y avait bien longtemps de cela. Dans les temps reculés où on la surnommait, « Gwladys-reine-des-pipes ». Une époque bel et bien révolue, qu’elle croyait avoir ...