1. Gavage dans le garage (1)


    Datte: 14/08/2021, Catégories: Trash,

    ... laissée derrière elle, mais à l’évocation de laquelle elle sentait toujours un frisson d’aise lui parcourir l’échine. Alors elle avait voulu remonter des testicules le long de la hampe. Et jusqu’à la coiffe de ce phallus qui défiait la gravité, sans l’autorisation expresse de celui à qui il appartenait, toute émoustillée qu’elle était par tous ces souvenirs salaces jusqu’à l’écœurement. Mais M. Jacques l’avait rappelée à l’ordre en claquant la langue ; il avait tiré sur la laisse à laquelle elle était tenue, de façon à ce qu’elle soit contrainte de conserver la position qu’elle s’apprêtait à quitter. -« Renifle plus fort ! »- Il avait donné son ordre dans un souffle. D’un ton sec et grave, qui se voulait sans appel. Et Candys n’avait eu d’autre choix que de s’exécuter prestement, avec toute la diligence dont elle pouvait faire preuve. Elle savait ce qu’il voulait. Elle savait qu’il la connaissait. Elle avait été formée à la dure, plus d’une décennie auparavant. Il voulait l’entendre. L’entendre s’avilir ; l’entendre se soumettre totalement à lui. Elle savait qu’il aimait ça. Alors elle avait bruyamment aspiré l’air par les narines, en prenant le risque d’être entendue par un homme qu’elle savait tout proche, à quelques mètres seulement, et qui ne devait surtout pas se rendre compte de ce qu’elle était en train de faire. Et ça, ça l’emballait. Parce que c’était le visage couvert de bave, tenue en laisse en pleine nuit dans le garage de son domicile conjugal, un collier de ...
    ... chien autour du cou, à genoux et la tête enfoncée dans ses valseuses, qu’elle avait attendu, là, quelques secondes, en flairant les arômes virils qui flottaient autour d’elle. Elle ne se rappelait plus comment ils en étaient arrivés là, mais elle se voyait l’attendre derrière la maison pour laquelle elle avait contracté un prêt de vingt ans avec son époux. En talons hauts et en petite nuisette, ras-la-touffe s’il vous plaît. Et qui laissait paraître un string en T déjà passablement humide. Quand il était finalement arrivé et qu’elle était allée vers lui, elle avait voulu l’embrasser et il l’avait tout simplement repoussée d’un air amusé. Il avait ensuite posé la paume de sa main sur son front pour lui faire rejeter la tête en arrière, à la manière d’un pasteur protestant se préparant à faire passer un nouveau converti par les eaux du baptême. Et quand il avait appuyé vers le bas, comprenant ce qu’il voulait, elle avait simplement fléchi les genoux et desserré doucement les lèvres en le fixant dans le blanc des yeux. Elle avait senti sa foufoune vagabonde et dévergondée se liquéfier sur le champ, dès le moment où, une fois agenouillée à ses pieds, M. Jacques l’avait forcée à le prendre en bouche et avait enfoncé, sans plus de cérémonie, toute la longueur de son gros sexe puant le mâle, dans la cavité buccale qui s’offrait ainsi à lui de façon si impudique. Tout cela s’était fait dans un silence assourdissant, sans salamalec accessoire. Sans bonjour, bonsoir, comment allez-vous, ...
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