Tranche de vie
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... referma sa porte. — Cette fois-ci, tu t’installes complètement. Fini, les allées et venues : demain, tu récupères toutes tes affaires ; on te fera la place qu’il te faut.— Oui. « Nouvelle vie qui commence donne toujours une chance. » Crois-moi, je vais la saisir. Moitié somnolant, j’ai repensé aux événements qui avaient précédé. Tout avait été vite, très vite, mais tout se passait bien. Pourvu que ce ne fût pas trop vite. ____________________ Au fur et à mesure que la semaine avançait et que s’approchait le week-end, la tension montait au travail. Plusieurs soirs, je suis rentré tard. Nous dînions parfois chez nous, parfois chez son grand-père. Tout se passait bien. Arthur faisait des allers et retours, semblant très satisfait de sa situation. Il lui arrivait même de passer la nuit avec nous. Jeudi soir, je suis rentré vers minuit, ayant dîné avec mes Chinois. Elle m’attendait en corrigeant quelques copies. — J’ai fait comme tu m’as dit, tu vois : je me suis installée dans ton bureau. Elle s’est levée pour venir m’embrasser, passant devant la lampe du bureau. Son déshabillé ne cachait plus grand-chose de sa plastique. Je n’ai pu retenir un sifflement admiratif. Un instant après elle était dans mes bras. Ce n’était pas un rêve ! Sn corps doux et ferme, entièrement offert, plaqué contre le mien m’avait vite détrompé si jamais j’avais eu un doute. Heureusement, du bureau à la chambre, le chemin est court ! Nous l’avons franchi allègrement, mettant à profit sa courte durée pour ...
... franchir quelques étapes sur la route du septième ciel. Ce que j’ai aimé une fois encore, c’est sa totale impudeur, le cadeau qu’elle me faisait d’elle, sans retenue ni interdit. Elle m’avait prévenu : quelques précautions s’avéraient indispensables. Nous les avons prises. Cela faisait longtemps que je n’avais usé un préservatif. Je ne me rappelais plus à quel point un tel accessoire pouvait être à l’origine de jeux de toutes sortes… Le vendredi matin, nous nous sommes donné rendez-vous directement à l’hôtel vers 18 h 30, heure à laquelle je devais y ramener mes « invités ». Leurs épouses y seraient également, et il était convenu que nous les amènerions à l’ambassade de leur pays où ils étaient conviés par le responsable de la mission commerciale. Un MercedesVito flambant neuf avait été loué pour le week-end par Valérie. Margaux et moi étions libres de notre soirée, mais j’avais convenu avec mes deux Chinois qu’il leur suffirait de m’appeler sur le portable, que j’avais emprunté à l’entreprise, pour que je vienne les chercher vers une heure du matin, m’avait-il dit ; nous étions donc tranquilles pour un moment. De la Concorde où se trouve l’hôtel à l’ambassade, à la Madeleine, il ne faut que quelques minutes, même si toute circulation est impossible. Nous aurions tout aussi bien pu faire le trajet à pied, mais avec les dames en tenue de soirée cela ne semblait guère convenable. Après les avoir déposés à leur rendez-vous, Margaux et moi sommes rentrés directement à l’hôtel. ...