1. Le récit angoissexy de gretito (1)


    Datte: 15/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Julien n’avait jamais aimé Halloween. Lorsque le 31 octobre, il était à la maison, il débranchait sa sonnette, s’installait dans son salon et en profitait pour mater un bon film, le casque sur les oreilles pour ne pas entendre les mioches frapper à la porte et prononcer leur sentence : « Des bonbons ou un sort ». En ce soir du 31 octobre 2016, Julien n’a rien de prévu. Après une bonne douche, sur son canapé vêtu d’une robe de chambre à même la peau, il regardait Vampire Lesbos, un film de vampires lesbien, dont il avait vu des extraits quelques semaines auparavant. Sous le soleil d’Anatolie, Linda tombe dans les filets de la comtesse Carody, descendante de Dracula. Cela faisait une semaine que Julien ne s’était pas branlé. Dès les premières scènes, il sentit son sexe durcir et pointer le bout de son gland entre la fente de la robe de chambre. De sa main gauche, il caressa négligemment son extrémité. Il ouvrit la ceinture, écarta les deux pans de son peignoir et se retrouva nu sur son canapé, la main droite désormais sur son sexe, la gauche titillant les tétons. Après quelques va-et-vient, le sexe désormais bien décalotté, il se saisit du gel qu’il avait pris soin de préparer, imaginant bien que devant un tel film, il ne résisterait pas à une branlette. Il déposa une noisette sur le gland avec son index droit et une autre sur son anus avec son index gauche. Il était désormais affalé sur le canapé, les pieds en l’air, se masturbant avec un doigt bien enfoncé dans son cul. ...
    ... Lorsqu’il pensa qu’il était suffisamment dilaté, il se releva, retira complètement sa robe de chambre et s’approcha du mur où il avait accroché un gode-ventouse en prévision. Il ne regardait plus le film, seuls la musique érotico-kitsch et les bruits de jouissance ajoutaient un degré d’excitation. Mais Julien n’en avait même pas besoin. Après avoir mis un peu de gel sur l’extrémité du gode, il approcha son anus du gland en plastic, le fit entrer et ressortir plusieurs fois avant de l’enfoncer au plus profond de lui. Lorsque ses fesses touchèrent le mur et les fausses couilles, il sentit un profond sentiment de bien-être. Il fit quelques mouvements puis commença une série de lents aller-retours avant d’accélérer. Même si c’était lui qui dirigeait la manœuvre, il avait le sentiment de se faire baiser par le gode, qu’il était comme un jouet dans les mains de ce morceau de plastic. Son sexe bandé balançait au même rythme, parfois choquant contre la cuisse, parfois contre le ventre. Ses mains alternait les caresses sur le torse, les fesses, son sexe. Au bord de la jouissance, il décrocha le gode, s’allongea sur le sofa, et, sans même se toucher mais faisant aller et venir le gode en lui, Julien éjacula en poussant un long cri de jouissance. Un premier jet épais alla s’écraser sur la commissure des lèvres, un deuxième inonda les lunettes et les suivants maculèrent son torse. Encore tremblant, Julien passa sa langue sur ses lèvres pour récolter son jus, lécha les lunettes avant de finir ...
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