1. Le récit angoissexy de gretito (1)


    Datte: 15/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... la chambre, il était plutôt rongé par l’angoisse de ce qu’il allait découvrir. Lorsqu’il ouvrit la porte, la lumière tamisée de la lampe de chevet donnait une atmosphère douce renforcée par la musique planante. Julien était éberlué, il ne reconnaissait pas sa chambre. Son lit était fait au carré, avec des draps propres, une douce odeur parfumait la chambre. Ses vêtements sales ne traînaient plus ça et là, la poussière avait été nettoyée. La bouche ouverte et saisi par la surprise, Julien était incapable du moindre mouvement. — C’est quoi cette blague ? Pensa-t-il Comme en écho, il entendit une voix grave lui répondre : « C’est pas une blague. Mets toi à l’aise mon chéri » Julien vit alors assis dans son fauteuil celle qu’il avait pris pour un enfant. Il s’agissait en fait d’un nain, dont l’imposante virilité et les quelques rides sur le visage ne permettaient pas de douter de la majorité. Il était musclé, complètement épilé et sa verge, déjà bien bandé, devait sans doute dépasser les 25 cm. En temps normal, Julien se serait précipité dessus tant il rêvait depuis longtemps d’une aventure avec un homme, sans oser franchir le pas. Mais là, c’était plutôt l’angoisse qui saisissait Julien, angoisse qui le poussait à fuir cet individu étrange qu’il n’avait pas invité et dont il ne savait ni l’identité, ni comment il était entré. Il se retourna et commença à courir dans le couloir. Le nain se leva alors et se lança à la poursuite de Julien qu’il rattrapa rapidement, le faisant ...
    ... trébucher en s’accrochant à son peignoir. Julien était maintenant à plat ventre, un nain débarqué de nulle part sur le dos et une bite géante qu’il sentait vibrer contre la raie des fesses. « Où tu vas, mon bonhomme ? Tu ne vas pas nous laisser comme ça, non ? Tu es notre esclave. » — Nous … notre … Ils sont plusieurs ? A peine avait-il pris conscience de ces mots qu’il vit 4 petits pieds s’approcher de son visage. Levant les yeux, il vit deux autres nains, à poil. Un homme, musclé, cheveux courts coupés en brosse mais dont le membre était de taille normal. L’autre nain était une naine avec un cul et une poitrine d’une telle taille qu’il était à peine exagéré de croire qu’elle était plus large que haute. « Allez, laisse toi aller … » « Lèche ! » La naine avait positionné ses jambes autour de la tête de Julien et tirant sur ses cheveux, commençait à se masturber avec son nez. Le nain sur le dos de Julien se masturbait tandis que le deuxième approcha son sexe de la bouche de la naine. Au bout de deux minutes, Julien avait de plus en plus de mal à respirer et tenta une ruse. Forçant pour se dégager de son étreinte, il put prononcer ces mots : « On serait pas mieux dans la chambre ? Les nains se regardèrent et acquiescèrent. Au moment de se relever, Julien bouscula ses deux tortionnaires et tenta de s’échapper. La naine, toujours à terre, se retourna vivement et fit un croc en jambe en jambe à Julien qui s’écrasa le front contre l’angle de la porte, faisant jaillir un peu de sang. Un ...