1. Le récit angoissexy de gretito (1)


    Datte: 15/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... en suçant ses doigts qui avaient récolté l’amer nectar sur son ventre. Il était bon pour une bonne douche. Il se leva et quelques secondes après avoir retiré son casque, il entendit tambouriner à la porte. « Ouvrez ! Nous savons que vous êtes là ! Ouvrez ou vous irez en enfer ! » On tambourina à nouveau. « Ouvrez ! Des bonbons ou un sort ! » Julien soupira, ne tenant pas compte des menaces. Il n’allait quand même pas ouvrir à ces mioches, à poil, le corps plein de traces de sperme jusqu’au visage, le sexe encore à moitié bandé et l’anus ouvert ! Passant devant le frigo en allant vers la salle de bain, il sortit une bouteille de vin rouge entamée, se servit un verre qu’il posa ensuite sur le rebord de la baignoire. La main sur le mitigeur, il entendit qu’on tambourinait une dernière fois à la porte. « Vous l’aurez voulu. Voilà votre sort : Si tu jouis encore avant minuit, tu ne survivras pas à cette nuit. » Un dernier coup dans la porte et puis plus rien. D’habitude, Julien souriait à ce genre sort. Mais là, il était vraiment intrigué. D’une part des enfants parlent de jouissance. Et l’utilisation de l’adverbe « encore » supposant qu’ils était au courant pour sa séance de masturbation de ce soir. Il se rassura, pensant à de simples coïncidences, sans doute une phrase qu’ils avaient vu dans un film ou sur Internet. Ce ne sont pas quelques chiards qui allaient l’emmerder et l’empêcher de profiter de son bain. L’eau commençait à refroidir, le verre de rouge était terminé et ...
    ... Julien s’apprêtait à sortir de son bain lorsqu’il entendit sonner. Surpris, il était persuadé d’avoir désactiver la sonnette. N’ayant de toute façon pas l’intention d’aller ouvrir, il laissa sonner deux ou trois fois, le temps de se sécher et d’enfiler sa robe de chambre. Sortant de la salle de bain, il s’approcha de l’armoire électrique et, à sa grande surprise, constata que la sonnerie était bien désactivée. Perturbé, Julien vit accrochée au porte-manteau de l’entrée une veste qui n’était pas la sienne. — Qu’est ce que c’est que cette histoire ? Pensa-t-il Il s’approcha, vit que la veste appartenait certainement à un enfant, vu sa taille. Julien ne comprenait pas comment elle avait pu arriver là, se pinça pour voir s’il ne rêvait pas, se demanda si ce n’était pas l’effet de l’alcool. Non, impossible, pas après un seul verre. Il entendit du bruit dans le salon et, se rapprochant, il vit une silhouette d’environ 1m30, de longs cheveux bruns tombant jusqu’aux épaules. « Mais … que … m’enfin … qui … comment ... » Julien ne put que balbutier ces quelques mots avant que la fille mystérieuse ne disparaisse dans le couloir. Julien s’engageait derrière elle et vit que la robe désormais traînait dans ce couloir qui menait à sa chambre. A mesure qu’il s’en approchait, il vit au sol une paire de chaussette, un T-shirt et, devant la porte, une petite culotte En temps normal, réalisé par une vraie femme, un tel effeuillage aurait eu le don d’exciter Julien … Mais ce soir, avant d’entrer dans ...