Solange
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
couplus,
inconnu,
toilettes,
hsoumis,
fdomine,
ecriv_f,
... mienne, ses mains enserrèrent ma taille, nos langues, nos lèvres se mêlèrent, suçant, aspirant mordillant l’autre. C’était elle qui donnait le tempo, ce soir c’était elle l’amazone et moi la proie. Elle se saisit de mes poignets et les ramena de chaque côté de ma tête. Son corps se colla au mien, sa bouche ravageait mon cou, son pubis ondulait sur le mien, nous étions collées hermétiquement l’une à l’autre. Ses lèvres revinrent à la charge et sa langue me fouillait la bouche. Son genou se fraya facilement un passage entre mes cuisses, je devenais folle. Elle stoppa, me contempla tout en tenant toujours fermement mes poignets. Nous reprenions notre respiration, nous souriant telles des carnivores. Elle lâcha mes poignets, mais soudain je sentis sa main s’insinuer entre mes cuisses. Ni ma minijupe en cuir, ni mon string noir ne résistèrent bien longtemps et la paume de sa main épousa mon entrecuisse. Les mouvements furent d’abord lents, un massage plus qu’une caresse, elle prenait ma mesure, puis la pression s’accentua, le mouvement s’accélérait peu à peu. Elle me tuait, je mordis mon poing, mon autre s’accrochait à la paroi, j’étais à sa merci. Sa main libre déboutonna ma chemise et caressa mon pubis, elle sentit le piercing au nombril, le titilla, puis remonta vers le soutien-gorge. Je ne pus retenir un cri, ses doigts venaient de me pénétrer au moment où elle caressait mon sein de son autre main. Je tournais la tête dans tous les sens, essayant de ne pas hurler, de ne ...
... pas fermer les yeux, pour profiter de sa plastique rendue encore plus belle par son déchaînement, mais impossible de lutter, je lâchais un long râle de plaisir car maintenant quatre doigts m’avaient pénétrée. C’est alors que je vis Marc. Nous avions oublié de fermer la porte et il était là, visiblement choqué. Il m’avait souvent vu faire l’amour avec d’autres hommes, avec lesquels je prenais un malin plaisir à me donner entièrement devant lui, mais là, il y avait autre chose ; paralysé, il ne prenait pas plaisir à son rôle de voyeur, mais il était livide, interloqué, refusant de croire ce qu’il voyait. Et moi je l’ignorais totalemen, je tournais mon regard vers lui mais à ce moment, mon amante appuya sa caresse et m’arracha un nouveau râle. Je devenais dingue, en fait la présence de Marc augmentait mon excitation. La belle me chuchota : — Je crois que nous avons un public, il faut qu’il en ait pour son argent. Elle se tourna vers lui, arborant un sourire triomphateur, méprisant. La sarabande de ses doigts dans mon sexe devint infernale, elle se colla de nouveau contre moi, accentuant ses coups de boutoir par d’amples mouvements d’épaules. Je craquais. D’un seul coup, je devins liquide. Une explosion traversa mon sexe, mes cuisses, mon ventre, se répercuta jusque dans ma poitrine. Je jouissais et je criais ma jouissance, indifférente à tout, à Marc, à la porte des toilettes voisines que j’entendais claquer, à tout… sauf à ma maîtresse qui me contemplait. J’étais pantelante, ...