Paris, un hiver
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
hhh,
hbi,
jeunes,
copains,
grossexe,
facial,
hsodo,
init,
Gay
... j’appellerais ma copine le lendemain, et ce serait terminé. La force érotique que transportait cet homme, la violence insolente de sa beauté était tellement bouleversante que je me serais donné à lui sans condition. On arriva vite à son appartement, au quatrième étage d’un immeuble blanc de la fin du dix-neuvième siècle à la cage d’escalier étroite, l’ascenseur plus encore. Il sortit une clé de sa poche, l’introduisit dans la serrure, qui craqua, et entra avant moi dans un des plus beaux appartements de tout Paris. Un petit vestibule ouvrait à droite sur un grand salon aux coloris rouges et blancs. Un groupe de six garçons buvait assis dans un canapé et sur de profonds fauteuils, tout ici respirait la chaleur et le bien-être. — Bon, je te présente Camille, que j’ai rencontré au conservatoire. Camille était grand, assez mince, son visage était beau, égal, et son sourire charmeur. — Florent, qui est dans la même équipe d’aviron que moi. Florent était un peu plus petit, plus musclé, portait une barbe de trois jours, avait les cheveux ébouriffés. — Jean et Marc, le couple dont je t’ai parlé, ils sont ensemble depuis… combien de temps, déjà ?— Six ans, répondit celui qui se nommait Marc. Un peu plus âgé que les autres, un peu de ventre, mais ayant dans les yeux cette assurance que donne l’amour. Jean était un peu plus jeune et fluet, mais son visage juvénile lui donnait une autre sorte de beauté, plus calme, innocente. — Voilà Patrick, le DJ, qui bosse aussi dans mon ...
... conservatoire. Patrick n’était pas vraiment le genre de mec que j’aurais pu qualifier de « beau », mais quelque chose en lui me frappa dès le début, c’était cette puissance érotique qu’il portait également, par cette poitrine musclée qu’il laissait deviner sous une chemise cintrée. — Et, comme on dit, last but not least, Emmanuel, un ami du lycée, qui était dans ma classe. Lui aussi, le sourire charmeur, les cheveux très bruns, sans être noirs, un corps fin, dans le genre pileux si l’on en juge par ce qui sort de l’ouverture de sa chemise. Il était encore tôt, la fête se passait bien, on discutait, on buvait coup sur coup bière, martini, vodka pour les plus courageux, c’est à dire pas pour moi… Le tout en grignotant des pizzas qui tiraient sur le froid au fur et à mesure que la soirée avançait. Je discutais avec Camille qui, même si je ne voulais pas me l’avouer, me faisait du gringue… Puis je tournais la tête vers Marc, assis sur le canapé, qui embrassait Jean à pleine bouche. Ce n’est pas tant ça qui me porta le rouge aux joues au point que tout le monde le remarqua, mais cette main passée sous son t-shirt, massant son torse. Les autres garçons sifflaient, mais je n’osais pas regarder. Le t-shirt vola à travers la pièce et Jean dévoila un torse peu poilu, joliment dessiné, sans valoir celui de Jim. Marc plongea sa tête dans les poils entre ses pectoraux et descendit progressivement. À chaque centimètre marqué, la température montait, les mains se portaient à l’entrejambe, Camille se ...