1. Délicieuse dérive pour notre renaissance


    Datte: 16/08/2021, Catégories: fh, couple, parking, ascenseur, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral

    ... émotions futures. Je m’approche d’elle par derrière et tout en l’enlaçant : — Je ne sais pas mon cœur, c’est peut-être le moment d’étrenner une des robes que je t’ai achetées au printemps dernier. Je lui ai offert deux robes élégantes et sexy, choisies pour ce genre de sortie, une noire et une gris-clair. Elle les a déjà essayées mais étant à manches mi-longues, elle les avait gardées pour plus tard. Lors de l’essayage, j’avais remarqué qu’elle avait adoré la noire mais que la grise la gênait. En effet, la couleur claire montrait chaque détail et laissait entrevoir les petits plis ou contracture que fait un dessous sur la peau. Bref, ce qu’elle appelait un bourrelet (elle doit faire du 34/36, pour vous situer le bourrelet !) à l’endroit de l’élastique de son string. — Celle-là ? Forcément, elle me montre la noire… — Non, plutôt la grise, elle te va trop bien. Un silence qui me semble très long. — Je vais l’essayer, mais je ne suis pas sûre. Ella l’a rapidement enfilée et s’est longuement regardée dans le miroir de la porte de la chambre. — C’est magnifique ! Son corps était magnifiquement moulé dans cette robe. Je savais ce qui la chiffonnait, elle passa plusieurs fois ses mains sur les hanches, comme pour gommer la trace de son string. — Ça fait pas moche ?— Quoi donc ?— Rahhh, tu sais bien ! Toujours derrière elle, je lui posai un petit baiser dans le cou. — Tu vas porter un collant, de toute façon ?— Bben oui, pourquoi ? Tu crois que ça va enlever la trace Prenant un ...
    ... collant chair dans son armoire, je lui tends — Celui-là ?— Ben oui, par exemple La tête effleurant son cou, je pose mes mains sur ses cuisses, doucement je les remonte sur le côté sous sa robe, je saisis délicatement, du bout des doigts, son string que je commence à baisser. À chaque instant je crains un mot, un signe. Peu à peu, je me baisse, la libérant de son dessous. Je dois lui faire soulever la jambe pour lui retirer complètement. Me relevant je lui murmure : — Vas-y, enfile ton collant maintenant. Chaque seconde, j’ai cru que toute la pudeur et les barrières de sa bonne éducation qu’exprimait son visage rougi et figé allaient exploser. Le temps s’est arrêté, puis sa main s’est refermée sur le collant que je lui tendais. Mon cœur battait à tout rompe, les yeux écarquillés, le souffle court, je la regardai enfiler le voile nylon chair. Finissant de l’ajuster, elle s’admira dans le miroir. Sentant le moment opportun, je passai ma main sur ses fesses — Tu vois, c’est parfait. Je sortis rapidement de la pièce, sachant combien cette victoire était précaire et connaissant, ô combien, la fragilité de cette avancée. Je ne sais si elle a hésité, mais quelques minutes plus tard, ayant enfilé ses escarpins, elle m’a rejoint dans la salle de bain pour se maquiller. Je lui laissai la place, ému et très émoustillé. Mon cœur battait très fort en sortant de l’appartement. Dans l’ascenseur j’offris à mon ange un délicat et tendre baiser accompagné d’un doux : — Je t’aime. Décidé à continuer ...
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