1. Délicieuse dérive pour notre renaissance


    Datte: 16/08/2021, Catégories: fh, couple, parking, ascenseur, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral

    ... sourires complices. En repartant, je lui ai demandé si elle souhaitait conduire, je sais qu’elle adore piloter notre Porsche, mais elle se sentait trop nerveuse pour conduire et m’avoua qu’elle aimait son statut de passagère, vouée à la galanterie de portière de son homme. Je ne me suis pas fait prier et me suis à nouveau délecté de sa beauté intime. Sur le chemin du retour, je choisis de ne pas rentrer de suite : — Mais, qu’est-ce que tu fais, où tu vas ?— J’ai envie de faire un petit tour au casino.— Tu plaisantes ?— Non. Détends-toi, chérie Je me suis garé au parking du sous-sol, — Chéri, je veux pas y aller !— Relax ! Détends-toi. Personne ne peut savoir. Embrasse-moi Je connais son regard. À ce moment-là, je sais qu’elle cogite pour me convaincre de ne pas l’y emmener. Nous échangeons un long baiser et comme je m’en doutais — Chéri, j’ai trop envie de toi, rentrons faire l’amour. Bien joué, mais je m’y attendais — Moi aussi j’ai envie, mais on s’amuse bien ce soir Voyant mon insistance elle poussait ses pions — Allez rentrons, je suis en feu.— C’est vrai, ce mensonge ? Toujours enlacés depuis notre baiser fougueux, je glissai une main sous sa robe, frôlant son entrejambe. — Humm, c’est vrai, dis donc ! Mais, tout en la caressant un peu, je ne me décidais pas à partir. Voulant à tout prix me convaincre, elle posa sa main sur moi. — Toi aussi, t’en peux plus…— Oui, j’en peux plus. C’est clair ! Suce-moi ! Sa respiration s’est arrêtée. Blottie sur mon épaule, elle ne ...
    ... bougeait pas. Doucement j’ai défait ma ceinture, dégrafé mon pantalon — Suce-moi ! Ma main dans son dos la poussait légèrement. Une force s’y opposa, j’insistai, elle céda. Je n’osais y croire, mes rêves les plus fous ne l’auraient même pas osé. Tandis que son buste fléchissait, je libérai mon sexe. Je ne peux décrire mon émotion lorsque ses lèvres se posèrent sur mon gland. Je crois que jamais je n’avais connu pareille excitation. Sa bouche absorba mon pénis avec une avidité que rarement je lui avais connue. Ma plantureuse chérie me suça délicieusement, un torrent de plaisir m’inonda progressivement et m’emporta peu à peu jusqu’à la jouissance. Peu après, elle est venue se poser contre mon épaule, je l’ai embrassée tendrement dans les cheveux en lui susurrant un doux « je t’aime ». Tandis que je me rhabillai, elle s’est redressée et installée dans son siège. Tout en ouvrant la portière, je lui dis : — Allez viens, je t’offre une coupe au bar du casino.— Mais ? Chéri je croyais que… Déjà la portière s’était refermée, coupant ses derniers mots, comme évanouis dans l’habitacle. C’était un coup de poker, je suis allé ouvrir sa portière. — Allez mon bébé, on y va. Elle resta figée sans bouger de son siège. — Tu avais promis…— J’avais rien promis du tout et j’ai trop envie de m’afficher à ton bras. Tu es si belle ce soir, ne t’inquiète pas, je resterais collé à toi tout le temps. Elle hésita et enfin sortit, mais cette fois très pudiquement, de la voiture. — Allez, boude pas, chérie. ...
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