Délicieuse dérive pour notre renaissance - Histoires de Sexe

Délicieuse dérive pour notre renaissance

... sur le chemin ouvert plus tôt, je sortis, un peu nerveux, notre coupé sportif du garage, je me hâtai de descendre de la voiture — Attends, une jolie femme élégante, on lui ouvre la portière Beaucoup d’entre vous auront déjà saisi le stratagème, la portière ouverte à une dame court-vêtue, surtout dans une sportive basse, est un délice pour les yeux et permet de saisir des images normalement inaccessibles. Ma chérie ne fut pas dupe, elle sourit même en faisant une moue qui voulait dire « toi alors ! », mais elle se prêta au jeu. D’un geste élégant, elle s’assit et tourna ses jambes, dévoilant ses jolies cuisses gainées et, un court instant, ce que je devinais plus que je ne voyais comme son entrejambe. Je pris le volant et lui glissai : — Très joli, un peu trop rapide pour être divin, tu feras mieux à l’arrivée, j’en suis sûr… Je n’ai pas eu un mot du trajet et j’avais peur d’être allé trop loin. Je craignis qu’elle ne se dépêche de sortir mais il n’en fut rien. Elle attendit patiemment que je lui ouvre la porte, et là, dans un mouvement très sensuel, elle sortit d’abord une jambe dévoilant à mon regard toute son intimité lisse, nue sous le voile chair, puis après avoir marqué une pause, ramena l’autre jambe. J’ai cru défaillir de voir ma belle, aussi charmeuse et provocante. Je restai silencieux en marchant vers le restaurant, goûtant ces plaisirs nouveaux qui nous faisaient renaître. Confortablement installé à table, je lui dis : — Alors, comment te sens-tu, mon amour ?— ...

... Comme une gamine de seize ans qui porte son premier string et qui croit que tout le monde le sait ! Marquant une pause. — En tout cas, c’est très confortable. Je souris… — Excitée ?— Arrêêête… Le serveur est venu prendre la commande. Je sentais ma chérie à fleur de peau. Pour la rassurer, je posai doucement ma jambe contre la sienne, sous la table. Nous dégustions notre entrée lorsque je tentai : — Tu sais, ton soutien-gorge fait un petit repli, comme faisait ton string. J’ai cru qu’elle allait s’étrangler. — Se serait plus joli et plus confortable, tu crois pas ? Va aux toilettes avec ton sac et retire-le.— Tu plaisantes, j’espère !— Devine… Je laissais un long silence, un peu pesant : — Qui saura ? Personne, juste toi et moi. Allez ! Fais-le pour moi, chérie ! Ses lèvres se sont ouvertes mais aucun mot n’est sorti. Je la connais, je sais combien elle est loin ce soir de ses principes et son éducation. C’est à mon grand étonnement qu’elle s’est levée, j’ai dévoré du regard sa silhouette féline lors de chacun des pas qui l’éloignait de notre table. Son fessier rebondi, lisse et sans trace sur cette seconde peau grise. J’étais encore dans mes songes lorsqu’elle est revenue, ses joues étaient écarlates, ses mains tremblaient quand elle a posé son sac à main. — T’es un amour, je suis dingue de toi.— C’est moi qui suis dingue ce soir je crois. Tu me fais faire n’importe quoi ! Je souris, heureux, envoûté que j’étais par la situation. Le reste du repas ne fut que regards de braise et ...