Délicieuse dérive pour notre renaissance - Histoires de Sexe

Délicieuse dérive pour notre renaissance

... Tout en marchant, je passai ma main sur ses fesses. À l’entrée du casino, le contrôle d’identité fut vite fait pas un agent de sécurité au large sourire, je ne fus pas sans remarquer qu’il avait discuté dans son oreillette à notre arrivée. Nous avons marché un peu dans les allées du casino avant d’aller rejoindre le bar. Tandis que je commandai nos deux coupes, je lui demandai où elle voulait s’asseoir, tabourets du bar ou petits fauteuils du salon-lounge. Elle prit son temps. — À quoi tu réfléchis ?— Tu sais bien, là où on me verra le moins.— Tu es bête, tu es si belle, si désirable…— Alors choisis !— Viens, on va au salon-lounge. Galant, je la fis me précéder. Tandis qu’elle allait s’asseoir, je lui dis. — Mets-toi plutôt en face, mon cœur. Ce changement n’était pas anodin, j’avais remarqué la présence de la caméra de surveillance au plafond qui aurait été dans son dos sans ce changement. Les équipes de sécurité devait l’avoir suivie depuis notre arrivée et notre expérience, juste sous la caméra de surveillance du parking. — Je suis étonnée que tu aies choisi l’endroit le plus tranquille, mais tant mieux.— C’est pour mieux te regarder et mieux pouvoir te contempler à l’aise. Elle me sourit, le regard chaud et pétillant comme au restaurant. — Je suis dingue de toi, mon amour. Tu le sais ça…— J’adore t’entendre dire ça— Excite-moi encore ! Elle regarda alentour et se sentant à l’abri des regards, elle décroisa ses jambes et, sans pudeur, se mit à les ouvrir. Quel délice de ...

... voir en ce lieu son pubis lisse, ses fines lèvres sous le voile chair. — Humm, tu me rends fous, ma chérie. Je vois que cela te plait aussi ! D’un hochement de tête je désignai sa poitrine que l’on devinait tendue sous le fin tissu. Ses petits tétons tout durs pointaient. — Mon dieu, j’y pensais même plus… Dans un geste elle croisa les bras pour les masquer. — Finis ta coupe, mon bébé, il est temps d’y aller. À ses mots, ma douce ne se fît pas prier et se leva, je la pris par la taille en la dirigeant vers la sortie. — Viens, on prend l’ascenseur !— Pourquoi ? On est venu par l’escalier. Je la fis entrer un peu précipitamment. — Pourquoi ? Parce que j’en peux plus de te désirer… Je collai mes lèvres contre les siennes, passai mes mains sous sa robe la relevant, malaxant ses fesses, fou de désir. — Humm ! Mais arrête, t’es fou ! On pourrait nous voir !— Qui ? (À part la caméra de l’ascenseur…) Tandis qu’elle réajustait sa robe, l’ascenseur ouvrit ses portes, je lui pris la main en marchant vers notre voiture au fonds du parking. — Je veux garder un souvenir de cette soirée ma chérie. Tu t’appuieras sur le phare de la Porsche, je vais faire une photo avec mon téléphone.— Ok, mais dépêche-toi avant que quelqu’un vienne Elle se mit en place, debout, appuyée sur la voiture — Euh non, plutôt l’autre phare, il est plus en lumière (Et plus près de la caméra…) — Oui une jolie pose sexy. Jouant le jeu, ma déesse se plaça langoureusement sur l’aile de la voiture et me sourit. — Oui super ...