Gwendoline, le loup-garou et moi (5)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Divers,
Il faut le reconnaître, le loup-garou est sexuellement plus avantageux que l’homme. Quand il reprend sa forme d’origine, les mensurations s’en ressentent. Je le retrouvai donc avec une quéquette de treize centimètres (au jugé) devant moi. Mais elle restait très épaisse, magnifiquement courbée, avec un gland dessiné à tel point que Michel-Ange n’aurait pas pu en faire autant (à supposer qu’il dessinât des sexes en érection mais on n’en voit pas beaucoup au plafond de la Sixtine) et surtout, elle était très dure. Bref, je la trouvai fort à mon goût et la pompai avec tous les égards qu’elle méritait. Le garçon qui se trouvait à l’extrémité de cette bite valait, il faut le dire, le détour. Bien que petit, plus que moi, il était extrêmement musclé, taillé en éphèbe, avec un poil dense au pubis et sous les bras qui lui donnait tous les attraits de la plus grande virilité. De plus, il était jeune. C’est curieux, mais, Loup-garou, je ne m’étais pas posé la question de son âge. Aussi voulus-je réparer cette omission.` C’était oublier qu’une fois homme, il parlait uniquement sa langue natale. Et merde ! Fort heureusement, il avait quand même quelques notions de français et, plus encore, d’anglais. Nos pûmes tenir conversation, je sus qu’il avait vingt ans, fils de diplomate... Et qu’il était devenu garou à la suite d’une rencontre avec le loup-garou de Suède... Mais je ne compris pas tous les tenants et aboutissants de l’affaire. Au final, il me charmait autant sous ses traits ...
... humains que sous sa forme surnaturelle. "Dis donc Ombeline, tu ne serais pas en train de tomber amoureuse de ce mec" me dis-je in petto. Mais j’avais mieux à faire qu’à réfléchir: profiter encore et encore de ce corps magnifique et de son envie ardente. Mais l’homme, décidément n’avait pas la puissance de la bête, plus petit, plus léger, moins endurant, je perdais au change inévitablement. Néanmoins il s’avéra être un extraordinaire amant, plus performant que tous les gars que j’avais connus sachant se servir de sa queue comme pas un. Après l’avoir suffisamment excité, il me prit en levrette, changeant de trou à chaque fois qu’il le désirait. Vu comment il m’avait élargie dans la nuit, les chairs, même meurtries et douloureuses, présentaient suffisamment d’élasticité pour le laisser aller et venir sans difficulté. Quelques fois, il s’arrêtait, le temps de me bouffer le frifri ou de me lécher la rondelle, puis reprenait de plus belle. Il me tenait soit par les hanches, soit par le haut des cuisses ou par les épaules, tantôt en passant ses mains entre mon corps et mes bras, une fois qu’il m’avait pétri les seins ou, plus classiquement en remontant du bas du dos jusqu’au cou. Gwen fut évidemment réveillée par notre tapage et voulut être de la partie mais il ne lui permit rien d’autre que de lui bouffer les couilles pendant qu’il me sodomisait avant de la forcer à s’allonger devant moi pour que je lui mange le minou, ce que je fis avec une concentration inférieure à l’ordinaire compte ...