Gwendoline, le loup-garou et moi (5)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Divers,
... d’appartement du genre chihuahua. Isabelle se révéla être une excellente hôtesse. Elle cuisinait à merveille, le vin était bon et, les verres aidant, elle se montra même volubile et spirituelle. A moitié pompettes, elles se couchèrent. Il fallut préciser qu’Isabelle insista terriblement pour que Gwendoline acceptât de dormir dans sa chambre. Gwendoline était au lit depuis un bon bout de temps mais le sommeil ne venait pas, le vin ne désaltérant pas, elle avait soif. Il lui fallait de l’eau. Elle sortit donc de la chambre à pas de loup (garou) pour ne pas réveiller sa logeuse d’un soir. Mais celle-ci ne dormait pas, bien au contraire. Elle offrait un spectacle des plus intéressants. Entièrement nue sur son canapé, elle était en train de se caresser les tétons en murmurant des salaceries. Gwen mit spontanément la main à sa chatte car cette vue l’excita prodigieusement. Et si la fille était lesbienne ? Après tout, ses gros seins étaient tentants. Gwen s’approcha donc discrètement. Et, lorsqu’elle fut suffisamment proche, elle aperçut les grosses cuisses écartées et la petite chienne qui lapait le minou avec ardeur ! Gwen est rapide dans les associations d’idées. — Et pourquoi tu prends pas un mâle ? Surprise dans cet acte peu naturel, Isabelle manqua de s’évanouir de honte. Elle versa d’abondantes larmes, promit à Gwen que c’était la première fois qu’il ne fallait pas en parler, en deux mots, elle était paniquée. Gwen, qui était nue, vint s’approcher d’elle, la prit dans ses ...
... bras pour la rassurer et consoler, rassura, lui dire qu’elle aussi l’avait fait aussi etc... Tant et si bien qu’elle lui caressa le bout des seins puis la foufoune et qu’elles finirent par se baiser avec bonheur. Dans le repos qui suivit l’orgasme, Isabelle, désormais en confiance, se laissa aller à toutes les confidences que l’on voulut, savamment guidée par les questions subtilement orientées de ma diabolique comparse. Miracle, elle était vierge. Son embonpoint lui avait toujours laissé penser, qu’aucun homme ne pourrait jamais la désirer, alors qu’elle n’attendait que de perdre son pucelage. Elle avait bien fait quelques approches mais avait vite renoncé de crainte que les garçons, insincères, ne voulussent finalement se moquer d’elle. Alors Gwendoline lui dit qu’elle connaissait un camarade qui aimait les femmes, toutes les femmes et qu’il serait heureux de la déflorer, mais il avait un vice, un vice qui cependant ne pouvait pas la rebuter, il aimait associer son chien à ses ébats. Comme, disait-elle, il souffrait lui-même du complexe de se croire extrêmement laid, il voulait que ses partenaires portent un ruban sur les yeux pendant le coït au cours duquel, il se faisait remplacer par son chien (très bien monté, le toutou, toi qui es pucelle, tu va adorer...). L’histoire du toutou était faite pour qu’elle ne se surprenne pas d’entendre les grognements pendant la métamorphose et de sentir les pois pousser sur son corps. On lui dit que pendant l’acte, elle aurait une double, ...