Gwendoline, le loup-garou et moi (5)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Divers,
... tenu de la façon experte avec laquelle il me bourrait. Enfin il éjacula entre mes globes fessiers et Gwendoline dut bouffer le sperme que je sentais dégouliner jusqu’à ma chatte. — Ah la vache, c’est impressionnant ce qu’il en a après avoir découillé toute la nuit ! Tu en veux un peu ? — Question superflue ma chérie ! Et nous échangeâmes le jus de mon amant dans une galoche d’anthologie. En conclusion, Si ses mensurations étaient plus modestes que pendant la nuit, la circonférence de son pénis, fort respectable tout de même, et sa grande aptitude au cul me firent passer un moment extraordinaire. Il me baisa comme j’aime être baisée. Et j’en vins à souhaiter, comme Gwendoline l’espérait pour Maxime, qu’il pût se transformer à volonté. Quel pied ce serait ! Malheureusement, nous avions déjà du mal à trouver une pucelle pour permettre la métamorphose à volonté de Maxime, alors une deuxième... Et il n’était pas question que je coupasse la priorité à ma copine. Du reste, Ita devait rentrer chez lui. Mais il me promit qu’il reviendrait bientôt. Je crus, j’espérais même qu’il s’était autant attaché à moi que moi à lui. L’avenir nous le dirait. Pour lors, les mois passaient et nous ne trouvions pas la virginale beauté nécessaire à la transformation de Maxime. Tous les vingt-neuf jours, nous le retrouvions, à chaque fois dans un lieu différent, pour passer une nuit endiablée. L’hiver vint. L’hiver allait passer... Et puis il y eut un coup de chance. Gwendoline était au boulot. Le ...
... froid était vif. Nous étions au début de février. Concentrée sur son travail, elle ne vit pas les premiers flocons tomber, puis la tempête de neige vint recouvrir pendant trois heures les rues et les trottoirs d’un épais manteau blanc. Quand Gwen, s’en rendit compte, il était trop tard. Reprendre sa voiture et rentrer chez elle relevait de l’impossible. — Merde, comme j’vais faire ? — Ben, viens chez moi. Cette proposition venait d’Isabelle. Isabelle, c’est une collègue de Gwen. Elle a un peu plus de vingt-sept et est célibataire. — Sans rire, cela ne te gêne pas ? — Non, on se serrera. Si ça peut te dépanner... Faut bien s’entraider dans la vie. D’ordinaire, Gwen n’a pas beaucoup de relation avec sa collègue. C’est du boulot, point ! Il faut dire qu’elle n’est guère affriolante. Elle a un visage agréable mais elle est grosse, une vraie grosse, ronde de partout. Du reste, cela lui va très bien. Mais elle en est complexée. De plus, elle s’habille comme un sac. Pas de quoi la rendre amusante. D’autant qu’elle est toujours très réservée. Disons-le, franchement, la perspective n’enchantait guère ma pote amis elle accepta en m’envoyant un texto qui commençait par : "devine ce qu’il m’arrive... Je dors, chez la grosse...". Ce n’était pas très gentil. Mais Gwen ne pensait pas vraiment à mal. En fait, elle passa une soirée délicieuse. Le métro n’étant pas affecté par la neige, elles purent assez facilement aller chez Isabelle, après avoir récupéré chez un voisin une petite chienne ...