1. Ravissante ravisseuse


    Datte: 15/11/2017, Catégories: f, ff, ffh, Collègues / Travail vacances, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... notre plus grand plaisir, elle agrippe ses deux poignets comme une cavalière tient les rênes de sa monture pour la guider et en changer l’allure. Et la voilà lancée au petit trot. Je place mes mains sur la croupe rebondie et rebondissante de Julie pour mieux la suivre dans sa cavalcade alors que deux mains viriles nous malmènent délicieusement le sexe. Elle s’interrompt soudain dans son récit, les yeux figés sur mes mains, mes mains qui ont pris la pose et le mouvement de celles de l’inconnu qui lutine sans relâche nos deux copines. Je la regarde et sens ses mains se joindre aux miennes. D’un côté, elle enserre mon pouce et blottit son poing fermé dans ma paume. De l’autre, le bout de son majeur s’anime sur les articulations de mes doigts. — Lucas, il me semble que tu as vraiment pris la place de l’inconnu, me charrie-t-elle amicalement. Alors d’accord, je vais continuer l’histoire en te faisant passer pour lui ! me dit-elle en accentuant la pression de ses mains sur les miennes.— Ah enfin, tu te décides ! Mais je te préviens qu’aux tables voisines, il y a quelques regards furtifs qui nous reluquent. Vaut mieux rester un peu plus discrets si on ne veut pas que ça jase dans les étages cet après-midi ! lui dis-je en pleine connivence. Du coup, elle retire précipitamment ses mains. Mais voulant garder un contact complice, elle presse le devant de ses genoux contre les miens. Me voilà donc acteur privilégié de son aventure. — Soudain, Julie nous pousse au galop. La monture ne ...
    ... se démonte pas pour autant. Les cavalières n’ont plus qu’à se laisser emporter par l’ardeur des mains de notre conquête sur nos sexes offerts. Tourment sublime. Torture exquise. On se connaît trop bien, Julie et moi, pour louper chez l’autre le point de non-retour. Puisque tu es maintenant là avec nous, je n’ai pas à te décrire ce que tes mains doivent ressentir, la décharge simultanée de toute l’énergie charnelle accumulée dans nos conques éclatées.— Merci pour ce moment de plaisir partagé ! ajouté-je mi-figue mi-raisin. Et moi dans tout ça, je n’ai pas droit à une petite faveur ? Sourire de la copine qui savoure à l’avance ce qu’elle va me faire déguster. — Justement oui ! Prenant conscience de la nature un peu trop docile et passive de notre fier canasson, je décide de faire basculer Julie à côté de toi. Premier effet visible, et même un peu sonore, la libération d’une belle bite toute raide, surprise de se retrouver bien seule à pointer résolument vers le plafond. Je ne fais ni une ni deux et te force à basculer toi aussi, pour couvrir le corps écartelé de Julie en attente de toi. Par-dessous toi, je me saisis de ton pieu impatient pour le remettre dans le droit chemin. Et te voilà devenu beau missionnaire tout gentil, astiquant soigneusement son goupillon, le préparant à donner sa bénédiction. J’aime autant de dire que, bien placée pour profiter du spectacle de vos sexes réunis, je ne peux empêcher ma main de participer au voluptueux coït qui se déroule sous mes yeux. Je ...