La conversion de Marie
Datte: 18/08/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
copains,
noculotte,
Oral
init,
couple+f,
Dans le premier épisode, Manon et Fred, étudiants aux relations très libres, rencontrent Marie, lesbienne convaincue… ********************* À la cafète, le lendemain, Marie nous attendait, même si elle s’en est défendue, car elle arriva avec son plateau en même temps que nous. — Je peux ? demanda-t-elle, s’asseyant sans attendre notre réponse.— J’ai pas bien dormi, nous dit-elle au bout de quelques instants. Et comme nous ne disions rien, Manon m’ayant donné un coup de genou, souhaitant la laisser se dévoiler : — J’ai vraiment mal dormi. J’étais énervée, excitée, alors que j’avais passé une très bonne soirée qui aurait dû me permettre de m’endormir rapidement. Et vous ? Vous avez bien dormi ?— Parfaitement, répondit Manon. Fred aussi, je crois. Après ton départ on a fait l’amour et on s’est endormis tout de suite après, ajouta-t-elle. Marie, assise face à nous, nous regarda, longuement, l’un et l’autre. — Je sais pourquoi je n’ai pas dormi. Je le sais maintenant que je vous regarde tous les deux. Je te regarde Manon et je mouille, je mouille, là, maintenant, en pensant à ton corps. Ça, ça ne me choque pas, tu es une fille et je suis lesbienne. Je mouille en pensant à ce qu’on a fait ensemble, c’est normal. Mais putain, ce qui n’est pas normal c’est que je mouille en regardant Fred. Puis : — Excusez-moi. Et elle ouvrit son sac, en sortit un kleenex, le glissa dans sa main, glissa sa main dans la ceinture de sa jupe. — Je mets des Kleenex dans ma culotte, sinon je vais tacher ...
... ma jupe Puis ressortant sa main et la tendant à Manon : — Regarde, lui dit-elle. Manon, ravie, se régala de sentir ces doigts parfumés du sexe de Marie qui reprit : — Ça n’est pas normal que le fait de regarder Fred me fasse cet effet ! Je suis une gouine, une vraie gouine, depuis toujours. Et je regarde Fred et je sens mon sexe envahi, rempli, comme hier soir. Et ça me fait un effet fou. Je crois que je vais jouir rien que de vous regarder tous les deux. Puis, au bout d’un moment : — Mais qu’est-ce que vous m’avez fait ? Je ne voulais pas, moi ! Je voulais Manon, une fille, normale. Je voulais bouffer une fille normale. Je voulais qu’elle me bouffe, qu’elle me doigte, qu’elle m’embrasse. Je voulais faire ce que font les gouines avec une fille et c’est tout. Et voilà que je regarde un mec, et que je pense à son sexe qui me pénètre. Nous ne disions rien mais le genou de Manon cherchait le mien et s’y appuyait, cherchant une réponse à cette situation. Nos yeux se croisèrent et se comprirent. — Viens ce soir, lui dis-je. Et si tu veux, tu dormiras avec nous.— Oui, tu dormiras avec nous, rajouta Manon. Nous avions terminé notre repas. — Je vais aux toilettes, j’ai besoin de me nettoyer un peu, nous dit tranquillement Marie.— Je te suis, répondit Manon. Tu m’as fait mouiller avec ton histoire.— Et moi ? leur demandai-je. Personne ne s’occupe de mon érection ?— Ce soir, dirent-elles en riant, filant vers les toilettes, bras dessus, bras dessous, heureuses de leur complicité. Dans le ...