1. La conversion de Marie


    Datte: 18/08/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, jeunes, copains, noculotte, Oral init, couple+f,

    ... dos jambes ouvertes, offerte à la bouche de Marie qui en rêvait. Celle-ci se débattit avec le préservatif dont elle n’avait jamais eu besoin. Elle finit par ouvrir la pochette. — Lèche-le un peu avant de le lui enfiler, conseilla Manon. Et Marie, sans aucune hésitation, me prit dans sa bouche, cherchant mes yeux, me fit coulisser jusqu’au bout, les dents légèrement serrées. — Ça ira comme ça ? me demanda-t-elle. Et sans attendre ma réponse, elle déroula le préservatif puis plongea vers ce que Manon lui offrait, me présentant son sexe. Ma langue, qui n’y avait pourtant pas été invitée, s’insinua et constata combien était déjà mouillée l’intimité de la lesbienne préférée de Manon. Je me présentai entre ses lèvres que j’ouvris de mes doigts, écartant les poils, et attendis la réaction qui se limita à un frisson. Je me sentis donc autorisé à pénétrer plus avant, ce que je fis, lentement, aussi lentement que possible. Et je finis par avoir totalement disparu, absorbé par cette douce caverne, encore étroite, mais que je sentis prête à accepter mes assauts. Marie lâcha un instant Manon qui commençait à nous expliquer son plaisir au travers de borborygmes, pour pousser un « Ouahhhh ! » significatif. — Tu es bien ? lui demanda alors Manon, ravie.— Ouiiiii ! souffla Marie qui avait déjà recommencé à besogner Manon. J’entrepris alors d’aller et venir, doucement pour ne pas l’effrayer, et les soupirs que j’entendais me laissèrent supposer que ces caresses étaient appréciées. Mes mains ...
    ... se saisirent alors de ses seins dont les bouts étaient dressés et que je roulais entre mes doigts. À chaque allée et venue, lorsque mon bassin était appuyé contre ses fesses, Marie grognait, ne quittant pas le sexe de Manon qui, de son côté, poussait des cris qui annoncèrent une jouissance que Marie avait le talent de faire durer. J’accélérai alors le mouvement et les grognements de Marie augmentèrent d’intensité. Elle lâcha un instant Manon pour râler : — Tu me tues, je n’ai jamais senti ça, je vais jouiiiir. Et c’est à ce moment-là que mon doigt est remonté trouver le clitoris de Marie. Les deux filles poussèrent alors ensemble un cri dont l’intensité me surprit. J’étais ravi d’avoir réussi à me retenir car je pensai que la nuit serait longue. Je me retirai et Marie s’allongea près de Manon dont elle couvrit le visage de baisers. — Vous m’avez crevée ! Jamais je n’ai eu autant de plaisir. Qu’est-ce que je me suis régalée de te bouffer ! dit-elle à Manon.— Je te sentais fondre dans ma bouche et j’aime ça. Et Fred ? Mais vous me rendez folle, tous les deux. J’ai pris un plaisir incroyable à le sentir entrer et sortir, glisser, s’appuyer et reculer. J’ai fait l’amour avec un garçon ! Je le crois pas ! Et le pire c’est que j’ai aimé ça, follement. J’ai pris un pied terrible. Ouaaaah !— Je te l’avais dit, lui dit Manon— Mais regarde Fred, il faut le soulager, ajouta-t-elle, m’enlevant le préservatif.— Tu devrais le sucer. Tu verras comment un homme a du plaisir quand il se lâche. ...