1. La conversion de Marie


    Datte: 18/08/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, jeunes, copains, noculotte, Oral init, couple+f,

    ... bus, en rentrant, Manon était de très bonne humeur, pensant sans doute à la soirée qui se préparait. — Tu ne vas pas chez JB ce soir ? lui demandai-je. Nous sommes vendredi, il va t’attendre.— Je l’avais totalement oublié celui-là. Je vais l’appeler pour lui dire que je ne viens pas, me répondit-elle.— Sûrement pas, lui dis-je. Tu vas y aller, tu ne seras que mieux lorsque tu rentreras. JB t’aura un peu calmée car je te sens bien excitée.— Et puis Marie ne vient qu’après le repas car elle avait accepté une invitation de son colocataire qui l’emmène au Mac Do, dit-elle, convaincue maintenant que les choses se présentaient bien et que cette soirée allait décidément être intéressante. Puis au bout d’un moment : — Demain, c’est samedi. Rien ne nous obligera à nous lever de bonne heure. Et, au bout de quelques minutes : — Qu’est-ce que vous allez faire en m’attendant ? Tu ne vas pas sauter Marie tant que je ne serai pas là ; je te l’interdis.— Tu sais très bien qu’on t’attendra. C’est quand même bien pour toi qu’elle vient, la rassurai-je. Notre repas fut vite expédié. Manon se changea, enfilant la petite culotte préférée de JB, sous une petite jupe en jean, trop courte pour la fac mais parfaitement adaptée à ce genre de sortie. Je prenais une douche lorsque Marie sonna. — Entre, lui criai-je, ce n’est pas fermé. Et je la rejoignis, enroulé dans une serviette. — Où est Manon ? questionna-t-elle, un peu affolée de son absence et craignant je ne sais quoi.— Elle est chez JB, mais ...
    ... elle ne rentrera pas tard, la rassurai-je.— Qui est JB ? s’étonna-t-elle.— Manon ne t’a jamais parlé de JB ? Je le crois pas ! Je ne sais pas, moi, comment t’expliquer qui est JB. Je ne sais pas comment elle t’en aurait parlé, lui dis-je, très embêté.— C’est un copain ? Un bon copain si important pour que tu fasses tant de mystère ? insista-t-elle.— Viens, on va l’attendre au lit. N’aie pas peur, je ne vais pas te violer, lui dis-je, jetant ma serviette sur le fauteuil et me glissant sous le drap. Je pense qu’elle sera là dans une demi-heure ou trois quarts d’heure.— Tu as raison, on ne va pas rester debout à l’attendre, répondit-elle en se déshabillant, comme Manon, jetant ses vêtements dans tous les sens. Nue en un tournemain, elle se glissa dans le lit et vint se blottir contre moi. — Dis-moi qui est ce JB, murmura-t-elle à mon oreille. Elle avait glissé un bras sous mon cou, j’avais glissé le mien sous le sien. Elle avait posé une jambe sur moi, qui étais couché sur le dos, écrasant ses seins contre mes côtes, sa tête sur mon épaule. — JB, même si ça y ressemble, n’est pas l’amant de Manon, au sens où on l’entend généralement. Il n’est pas son amant car il ne lui fait pas l’amour, mais il la baise. Il la baise comme un sauvage, et il la fait jouir, beaucoup. Et Manon adore ça. C’est pour se faire baiser que, deux fois par semaine, elle va chez lui. Marie avait fait un bond dans le lit, me regardant, hésitant entre colère et indignation : — Elle se fait baiser par un mec que ...