Une visite impromptue
Datte: 20/08/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
religion,
grossexe,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
historiqu,
Caroline commence petit à petit à s’habituer à la vie parisienne. Deux jours ont passé depuis qu’elle a pour la première fois mis les pieds à Versailles. Deux jours qu’elle a mis à profit pour se reposer un peu. Il faut dire que ses premiers jours dans la capitale avaient été particulièrement chargés et riches d’aventures plus excitantes les unes que les autres. Dehors, le soleil rayonne. Il fait chaud. Allongée sur son lit dans la pénombre des rideaux clos pour garder une certaine fraîcheur dans sa chambre, elle s’est dévêtue, comme elle aime à le faire. Elle repense à tout ce qu’elle a vécu. La rencontre avec Élodie d’abord, avec laquelle une totale complicité s’est très vite installée. La jeune soubrette est tombée amoureuse d’elle dès le premier instant. Elle se demande si cette passion durera, si elle résistera à l’usure du temps et au défi des passions. Jusqu’ici, leurs ébats avec Mme de Marans, leurs diverses séances de voyeurisme n’ont fait qu’alimenter leur passion et augmenter le désir qu’elles ont l’une pour l’autre. Elle ne sait d’ailleurs pas très bien si elle n’est pas elle-même tombée amoureuse de sa domestique. Mais elle est jeune, et tant avide de découvrir les plaisirs. Elle n’imagine pas sacrifier sa soif d’expériences à un amour, fut-il immense. Elle en a vu trop, de ces épouses qui n’ont jamais rien connu, jamais rien appris, jamais rien osé, et qui retrouvent un jour l’homme à qui elles ont tout sacrifié entre les cuisses d’une autre. Elle a décidé de ...
... profiter de la vie, de tout essayer avant de prendre son parti. Est-ce que les expériences, qui jusqu’ici n’ont fait qu’attiser leur désir, ne vont pas un jour provoquer un sentiment de jalousie ? Est-ce que Élodie pourra supporter de la voir multiplier les partenaires ? Comment réagira-t-elle la première fois où elle n’aura pas participé à l’acte ? En réfléchissant à cela, elle ne peut s’empêcher d’évoquer l’image de sa soubrette. Où est-elle pour le moment ? Est-elle dans sa chambre, en train de se reposer ? Est-elle occupée à quelque tâche ménagère ? En tout cas, elle n’est pas auprès de sa mère, puisque celle-ci est sortie seule de la maison. Elle est peut-être en train de prendre du bon temps, avec ce valet si bien membré ? Ou bien, chaude comme elle est, se soulage-t-elle de ses désirs seule dans un coin ? Soudain, Caroline entend des pas dans l’escalier. On frappe à sa porte. Caroline enfile rapidement un peignoir, et va ouvrir la porte. Elle referme prestement le peignoir en constatant que ce n’est pas Élodie, mais le valet qui a frappé, et qui ne peut s’empêcher de lorgner sur son corps dévoilé. Elle le fait entrer. Il lui annonce que le Cardinal de Royans, qui passait dans le quartier, a voulu rendre une visite de courtoisie à sa mère, et qu’il lui demande si, en l’absence de sa mère, elle ne peut pas le recevoir. Caroline en conçoit un certain émoi. Elle ne peut s’empêcher de se remémorer la scène du château de Versailles. Elle demande au valet de faire patienter, et ...