1. Une visite impromptue


    Datte: 20/08/2021, Catégories: ffh, fbi, religion, grossexe, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral historiqu,

    ... réflexions quand elle sursaute : une voix s’élève derrière elle. Elle se retourne. Elle n’avait pas vu que le cardinal était accompagné. Une sœur, celle qui participait à l’orgie de Versailles, lui sourit, et rejoint le centre de la pièce. Le Cardinal lève les yeux, s’aperçoit de la présence de Caroline. Nullement gêné, c’est tout juste s’il arrête de se branler. Il retire sa main de sa soutane, et se lève. Son sexe dressé déforme sa soutane. Il tend la main, et attend que Caroline vienne lui baiser l’anneau. — Bonjour chère enfant. Vous êtes seule, nous a-t-on dit. Madame votre mère est de sortie. C’est bien dommage, j’avais pressenti bien du plaisir à la voir cet après-midi. C’est aussi le cas de sœur Amélie, n’est-ce pas ma sœur ?— Bien sûr monseigneur. Il faut dire que personne ne peut résister aux charmes de la maîtresse de cette maison.— Mais qu’importe que notre amie soit absente. Nous n’aurons pas la mère, mais nous ne perdons pas au change en trouvant la fille. Vous a-t-on déjà dit que vous êtes terriblement séduisante ? Comment vous appelez-vous ?— Caroline, Monseigneur.— Joli prénom. Tenez, mon enfant, voici votre livre.— Com… Comment avez-vous …— Deviné que c’était vous qui lisiez ce délicieux recueil ? C’est simple. Il fleure encore le parfum. Un parfum de femme. Ce n’est pas celui de votre mère, que je reconnaîtrais avec certitude. Il pourrait s’agir d’Élodie, la divine soubrette, mais je pense qu’elle ne sait pas lire. Il ne peut donc s’agir que de vous. ...
    ... Décidément, vous tenez de votre mère. Regardez, sœur Amélie, ces lèvres charnues, ce cou gracile, ses jolies épaules, cette poitrine arrogante… ne vous rappellent-ils pas les traits de notre amie.— Et ces jolis yeux, des yeux de biche, doux et humides. Tout le portrait de sa mère. Si elle a aussi le même tempérament qu’elle … Le Cardinal s’est rassis sur le canapé. La religieuse s’est assise sur un fauteuil, en face de lui. Il fait signe à Caroline de le rejoindre sur le canapé. Caroline leur propose de prendre un rafraîchissement. Elle sonne. Le valet entre, et s’incline. Il semble très bien connaître les deux visiteurs. Il repart, et revient très rapidement avec 3 coupes de vin blanc frais. Le Cardinal badine gaiement. Il interroge Caroline sur ses premières impressions de Paris, sur ce qu’elle a pu voir déjà. Elle a soin de taire tous les épisodes sensuels qu’elle a vécus depuis son arrivée. Elle n’est pas habituée à boire du vin, et les premières gorgées l’étourdissent un peu. Elle a chaud, elle sent le rose monter à ses lèvres. Avec l’alcool qui lui monte à la tête, revient le désir qu’elle sent monter au creux de ses reins. Elle ne peut s’empêcher de se remémorer la scène du palais, où elle a vu la queue du Cardinal défoncer le con sublime de Mme de Marans. La savoir si près, à portée de main, tendue et dressée sous la soutane - car visiblement, le Cardinal ne débande pas- la met dans un tel état qu’elle à peine à suivre la conversation et à répondre aux questions qu’on lui ...
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