Une visite impromptue - Histoires de Sexe

Une visite impromptue

... pose. Elle sent son sexe qui commence à couler entre ses cuisses. Soudain, elle sent la main de sœur Amélie se poser sur sa cuisse. Elle ne réagit pas, et fait semblant de ne pas s’en apercevoir. Au même moment, le Cardinal qui jusque-là se contentait de converser gaiement, la fixe droit dans les yeux ; son regard la pénètre littéralement : — Mais dites-moi, chère jeune fille, que pensez-vous de l’opuscule que vous lisiez ?— Ma foi, je l’ai trouvé par hasard, et n’ai pas vraiment eu le temps de le parcourir en détail.— Allons, ne me racontez point de sornettes ; je parie que vous l’avez lu jusqu’au bout.— C’est que… je… oui c’est vrai, je l’ai lu.— Allons, ne soyez pas timide. Vous n’êtes plus une oie blanche. Ce genre d’ouvrage ne convient pas aux jeunes filles, c’est vrai. Mais je doute que vous le soyez encore. Dites-moi, quelle nouvelle avez-vous préférée ?— C’est que…— Allons, je vais vous aider. Avez-vous aimé l’histoire de la marquise qui découvre son amie prise par son garçon d’écurie ?— Oh Monseigneur, elle est si cochonne ! J’ai honte de l’avoir appréciée.— Voyez-vous, Sœur Amélie, ce recueil de nouvelles érotiques est vraiment très excitant, et instructif. L’avez-vous lu ?— Je le possède dans ma bibliothèque privée, Monseigneur. Il recèle quantité de scènes très perverses : amour lesbien, parties à trois, plaisirs solitaires, … je suis certaine que notre jeune amie s’y sera fort instruite. Tout en parlant, la religieuse a remonté la robe de Caroline sur sa ...

... cuisse, et la caresse maintenant à même la peau, sans que la jeune fille ne s’en offusque. Au contraire, elle a insensiblement écarté les jambes, trahissant son état d’excitation intense. Cela n’échappe pas au Cardinal : — On m’avait dit que vous n’étiez plus si innocente. Connaissant votre mère, je me disais que le contraire eut été étonnant. Mais je constate avec plaisir qu’il ne faut pas grand-chose pour vous exciter. Diable, Sœur Amélie, je parie qu’elle mouille. La nonne remonte sa main le long de la cuisse de Caroline, atteint son pubis et le tâte. Caroline ferme les yeux. L’autre lui passe un doigt dans la fente, et le ressort poisseux. Comme la jeune fille se laisse aller en arrière et écarte encore un peu les cuisses, elle s’enhardit, et lui enfonce un doigt dans le sexe. Elle rentre sans peine. Quand Caroline rouvre les yeux, elle n’est qu’à moitié surprise de constater que le Cardinal a relevé sa soutane, et caresse lentement son énorme pieu dressé. Elle est fascinée par les mouvements rythmés de la main qui branle la hampe et décalotte le gros gland luisant. Elle a rarement vu sexe plus gros et plus imposant. Très excitée, elle lève ses fesses et remonte sa robe à sa taille pour permettre à la nonne de la masturber sans difficulté. Le Cardinal se lève, vient se placer face aux deux femmes. La religieuse s’empare du sexe, se penche et commence à le lécher avec délectation. Elle titille le gland du bout de la langue, descend jusqu’aux testicules, remonte pour sucer le ...