Une visite impromptue - Histoires de Sexe

Une visite impromptue

... gland. Fascinée, Caroline la regarde ouvrir très grand sa bouche pour y enfoncer avec peine ce sexe palpitant. Il rentre avec difficulté, la nonne respire bruyamment. Le Cardinal reste immobile, et laisse la nonne s’agiter sur son membre tout en observant la réaction de Caroline. Celle-ci est absorbée par le spectacle, et ne remarque même pas le regard pénétrant du Cardinal : elle admire la technique de la nonne qui alterne mouvements de poignet, coups de langue et pénétrations buccales. Le pénis pénètre difficilement entre ses lèvres, elle est obligée de distendre ses mâchoires. Mais elle maîtrise parfaitement la technique, et excelle à enfoncer le pénis jusqu’au fond de sa gorge. Caroline ne peut s’empêcher de porter sa main à son sexe, et d’y enfoncer deux doigts qui pénètrent sans peine. Ses doigts trouvent son bouton palpitant, et commencent à le taquiner. Sœur Amélie, sans se retourner, et sans cesser de sucer avec avidité la bite qui lui est offerte, recommence à caresser la cuisse de Caroline. En remontant, elle sent la main de Caroline qui s’agite sur son bouton. Elle interrompt sa fellation. — Monseigneur, avez-vous vu cette petite vicieuse ? Elle se branle en nous regardant. Elle s’excite du spectacle. Elle est en train de tremper le tissu de sa chaise, tant elle dégouline. C’est la vue de votre énorme sexe dressé qui la met dans cet état ! Il va falloir la calmer.— Certes, ma chère, je la vois bien fascinée par les mouvements de votre bouche avide. Que ...

... proposez-vous pour éteindre le feu qui lui embrase les tréfonds ?— Je proposerais qu’elle vous suce à son tour. Pendant ce temps, je m’occuperai de son minou, qui doit avoir bon goût.— Très bien. Mais je vais d’abord ôter ma soutane, la baise en sera plus facile. Je propose que vous fassiez de même, sœur Amélie.— Je vais d’abord, si vous le permettez, dévêtir notre jeune amie. J’ai hâte de découvrir sa poitrine, qu’on m’a dit superbe.— Co… Comment savez-vous cela ? Qui vous a parlé de moi ?— Ma chérie, ne soyez pas étonnée. À Paris, dès qu’une jolie femme fait son entrée dans le monde, on ne parle plus que d’elle, surtout si elle est aussi jolie que vous. Et tout le monde raconte ses aventures, compare ses formes, jauge son talent pour l’amour. Sur ce point, nous vous savons déjà très douée pour les plaisirs saphiques…— C’est Madame de Marans qui vous a parlé de moi ?— Vous semblez l’avoir diablement séduite. On dit qu’elle ne parle plus que de vous, et qu’elle décrit en détail les plaisirs que vous vous êtes donnés à qui veut les entendre.— Mon Dieu …— N’ayez crainte, ma chérie, il n’y a là rien de bien grave. Au contraire, tout cela vous a bien servi, puisque même la reine s’est enquise de vous, alors que vous n’avez même pas encore fait votre entrée à la Cour. La reine semble bel et bien intéressée de faire votre connaissance. Vous allez faire une carrière fulgurante. Tout en parlant, la religieuse s’est levée, et lui a ôté sa robe. Elle est nue dessous. Sœur Amélie se recule pour ...