Une visite impromptue
Datte: 20/08/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
religion,
grossexe,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
historiqu,
... les muscles des cuisses et du vagin se contacter. À côté d’elles, le Cardinal se masturbe en souriant du spectacle. Sa grosse queue palpite, ses gros testicules s’agitent au rythme de ses coups de poignet. L’odeur du con de la nonne déclenche chez Caroline l’envie de la goûter. Elle avance le visage, sort la langue, la passe dans la fente humide. Le goût est à la fois doux et salé : un merveilleux goût de mer qui lui envahit la bouche et les narines. Elle respire profondément. Sœur Amélie, toujours gémissante, se masse maintenant vigoureusement la poitrine. Elle soulève les globes imposants, les presse l’un contre l’autre, étire et pince les mamelons. Elle rouvre les yeux, et observe la jeune fille s’affairer entre ses jambes. Cette jeune provinciale est très douée pour sucer une chatte. Presque autant que Madame de Marans, dont l’art pour le cunnilingus est renommé dans le Tout-Paris. En plus, la jeune fille y met une spontanéité et une ardeur toute juvénile qui fait monter irrésistiblement son plaisir. Caroline se prend au jeu, grogne d’aise comme une chatte qui a le nez dans son bol de lait : elle lèche avidement en ronronnant. Elle a très envie de se doigter, sa moule dégouline, et son bouton appelle les caresses. Mais le Cardinal lui a interdit. Elle essaie alors de soulager ses envies en serrant très fort les cuisses, puis en les écartant largement. La pression exercée sur son clitoris est loin de la combler. Elle regarde avec appétit le pénis arrogant du Cardinal. ...
... Elle sait qu’il finira par la pénétrer, qu’il la baisera, et qu’elle jouira de se sentir comblée. Elle voudrait néanmoins hâter le coït. La nonne émet maintenant de petits cris plaintifs qui manifestent son excitation. — Attention, ma petite, ne la faites pas jouir déjà. Vous êtes experte, je dois le reconnaître ! Tenez, pour vous récompenser, vous pouvez maintenant vous faire lécher à votre tour. Sœur Amélie va rester couchée, et vous allez vous accroupir au-dessus de son visage. Caroline obéit. À peine a-t-elle enjambé la nonne, que celle-ci lui enlace les cuisses, et attire son sexe béant contre sa bouche. La nonne met un soupçon de perversité dans ses caresses : elle lèche la vulve, les lèvres, mais s’arrête chaque fois qu’elle approche du clitoris. Caroline n’en peut plus. Elle la supplie de lui titiller le bouton. La nonne n’en fait rien. Par contre, elle enfouit plus profondément son visage, la langue dans le sexe, le nez contre la rosette. Elle lui lèche ensuite la raie, et darde le bout de la langue sur son petit trou. Le Cardinal est venu se placer face à elles. Il se délecte du spectacle. — Caressez-lui les nichons ! J’aime voir le spectacle de ses gros seins triturés, malaxés : je l’ai vue mainte fois jouir des seules caresses qu’on prodiguait à ses tétons.— Oh Monseigneur, vous savez ce qui me fait jouir. Oui, j’ai envie qu’elle s’occupe de mes seins, pendant que je lui suce son conillon. Et j’ai envie de sentir en même temps votre grosse queue me pénétrer jusqu’au ...