Une visite impromptue
Datte: 20/08/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
religion,
grossexe,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
historiqu,
... fond.— Votre chatte est bien attrayante, et dégoulinante de jus mêlé de salive. Regardez, Caroline, regardez bien comment je vais la prendre.— …— Ma petite Caroline, je vous entends gémir sans répit, mais vous ne dites mot. Ne soyez pas gênée, exprimez-vous donc. Vous verrez, on accentue encore le plaisir en l’exprimant à haute voix. Par exemple, je dis à Sœur Amélie : « je vais te défoncer ta jolie moule tout humide », je l’excite encore davantage : elle attend mon sexe, elle se sent désirable, et les mots déclenchent dans son cerveau des réflexes d’excitation.— Oh Monseigneur, comme c’est juste ce que vous dites. Et plus les mots sont obscènes, plus l’excitation est grande. Essayez donc, Caroline, dites-nous ce que vous ressentez en me triturant les seins ! Caroline, qui a commencé à caresser les seins opulents de la nonne tout en contemplant le Cardinal qui tient sa queue dressée entre ses cuisses, hésite un instant. Mais elle se dit que ces religieux sont bien des vicieux, et qu’elle ne doit avoir aucune gêne. Elle se lance : — Monseigneur, regardez ses gros nichons : je peux à peine les tenir dans mes mains. Ils sont lourds, chauds. Et les tétons sont tout gonflés, durcis par son désir. Cette salope adore qu’on lui caresse les seins. Chaque fois que je lui touche les bouts, je la sens s’agiter entre mes cuisses. Et moi aussi, ça m’excite de lui masser ses gros seins. Je mouille, je l’inonde de mon jus. Regardez, je les presse (ils sont énormes), je les fais rouler, je ...
... tire sur les bouts. Oh elle aime ça, je lui pince. Allez-y Sœur Amélie, léchez-moi la fente, oui, très bien, et enfoncez bien votre langue. Oui, mon petit trou aussi. Oh ! Monseigneur, votre queue. Elle est si grosse. Allez-y, je veux la voir s’enfoncer dans son con. Prenez-la, dilatez-la, secouez-la !— Oui Monseigneur, prenez-moi, cette petite vicieuse va finir par me faire jouir à force de me triturer la poitrine. Je veux sentir votre pieu !— Vous êtes toutes les deux de bonnes petites baiseuses. C’est très bien. Le Cardinal approche son gland turgescent de la fente poisseuse de la nonne, le pousse entre ses lèvres qui s’écartent. Il s’enfonce lentement, le diamètre du sexe rend la pénétration difficile. Caroline est fascinée. Il est bientôt au fond. La nonne respire très fort, et prise de frénésie, commence enfin à titiller le clitoris de Caroline. Le Cardinal entame des mouvements longs et profonds qui secouent la poitrine de la nonne et lui arrachent des petits gémissements. Excitée par la vue de ce membre qui dilate le vagin, Caroline triture les gros seins de la nonne de plus en plus violemment. — Alors, cela vous excite, ma petite ? Je le vois à vos tétons dressés !— Oui, Monseigneur, tout cela m’excite : Soeur Amélie qui me suce le bouton, votre grosse queue qui la pénètre et ses nichons qui tremblent. Oh comme j’aurais envie de vous sentir en moi.— Entendez-vous notre jeune partenaire, Soeur Amélie ? Elle veut se faire embrocher !— Elle est certainement trop étroite, ...