1. Les fantômes d'un passé lointin (3)


    Datte: 20/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... écartelée et suspendue à la fois. — Tu sens quelque chose ? — Non, rien pour le moment. Attends, je vois des ombres qui approchent, il porte de longues baguettes dans leurs mains et une bougie aussi, une grosse et large bougie allumée. Putain, c’est les moines. Tu les vois ? — Non, rien du tout. — Il me frappe, y en a un qui me baise, le salaud, il a une queue comme la tienne. Il me fait du bien ce fumier. — Tu as mal ? — Oui, ils me frappent pendant que l’autre me baise. C’est comme s’ils battaient la mesure. Ça fait mal, mais pas mal dans le sens de souffrir le martyre, non, c’est comme si c’était pour te donner du plaisir, comme dans ces films SM que tu regardes parfois. Puis plus rien, Martine perd connaissance ou est sous l’emprise de je ne sais quoi ou je ne sais qui. Son corps se tortille comme si on la battait réellement. Sur mon pied, quelque chose tombe. Prenant l’objet, c’est une longue baguette de noisetier. Dans ma tête, une voix de femme m’ordonne tendrement de frapper Martine, de la punir de ses péchés, des péchés de ces moines vicieux et pervers. Quelque chose prend mon bras et l’abat sur la vulve de Martine qui crie, mais pas de douleur, de plaisir uniquement. Je suis pris, à mon tour, par les fantômes de cette bâtisse. Si elle vit au travers de cette femme pénitente, je me retrouve à la place d’un des moines. Mon pantalon tombe sans que je ne le touche. Ma queue est en érection, dans mon dos, des mains invisibles me poussent entre les cuisses de Martine. ...
    ... Je n’ai rien à faire, tout est guidé par cette force que je ne contrôle pas, que je ne vois pas. Je pénètre Martine, la pilonne. Derrière moi, sur mon dos, cette puissante force s’estompe. Je baise ma Martine, ma baguette à la main, je jouis vite, je suis surexcité. Je frappe le pubis, Martine hurle encore de bonheur, encore un orgasme. Comme les moines du récit, je commence à tourner lentement au rythme d’un chant grégorien qui remplit ma tête. En frappant Martine, je bas la mesure. Il me semble voir ces moines et leur grande capuche sur la tête. J’ai beau essayé de lancer cette baguette au loin, elle reste solidement dans ma main fermée. Je tourne, frappant toujours, sur le dos ou le ventre de Martine. Un coup dessus, un autre dessous. Martine est toujours allongée entre ciel et terre, écartelée à la limite du déchirement de son corps comme on les retrouve dans des livres d’histoires dans le supplice de l’écartèlement. Elle jouit chaque fois qu’une ombre de moine la baise. C’est à nouveau mon tour, je sens ma queue devenir dur. Je pénètre Martine. Je lui fais l’Amour aussi tendrement que je le peux. Mais, tardant trop, un méchant coup de baguette me brule mes fesses nues. Je me retire juste au moment de jouir d’elle et de la voir jouir de moi. Sur son corps, seules les marques de ma baguette se voient. Puis, ma main lâche la baguette qui disparait dans le sol de pierre. Lentement, le corps de Martine redescend, se posant tout en douceur sur mon sac de couchage. Elle reprend ...