1. Je suis une pute


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, prost, facial, Oral journal,

    ... mes amis, d’aimer lire, de me promener en forêt. Oui, je pars en vacances avec mes amis et quand vous lisez cette phrase, je sais que déjà dans votre tête ces vacances sont une continuelle orgie géante où tous les hommes me passent sur le corps à longueur de journée. Et, ô comble de l’ironie, vous n’êtes pas, mesdames, les dernières à venir me voir. Combien d’entre vous, les mêmes qui me méprisent, sont venues timidement me voir pour que je leur fasse découvrir le plaisir saphique. Aurais-je dû compter combien d’entre vous sont venues me demander comment faire une vraie fellation ou comment se laisser sodomiser par leur mari qui ne pensait qu’à cela depuis qu’il avait vu ce film porno sur une chaîne de sa fichue télé. Eh oui, mesdames, vous aussi êtes mes clientes. Voilà ce que vous croyez savoir de moi, ce que vous ne savez pas de moi surtout. Je suis une travailleuse du sexe et voilà qui je suis. *********** Je me prénomme Amandine, j’ai 34 ans. J’ai grandi dans un village de Sologne, une vie sans histoires, une scolarité classique. Bien que je fusse aimée de ma famille, on ne peut pas dire que l’adolescence fut une période facile, comme pour toutes les jeunes filles. Les villages solognots n’ont rien en commun avec les grandes villes d’aujourd’hui. Heureusement pour moi, j’étais plutôt mignonne. Rien d’extraordinaire mais assez pour capter le regard d’un garçon, bien que cela ne relève pas de l’exploit quand on a 18 ans. À 19 ans, je suis partie travailler à Tours. J’avais ...
    ... déjà connu le loup mais je tenais à recommencer. Je me suis dit que la grande ville serait l’occasion idéale, de sortir, flirter, coucher. Je me caressais le soir en imaginant toutes les rencontres que j’allais faire. J’y passais beaucoup de temps à cette époque et mes plus beaux orgasmes étaient ceux que mes doigts m’avaient offerts. Mon arrivée à Tours ne fut pas la vie de luxure rêvée. J’ai très vite rencontré l’homme qui allait partager un bon moment de ma vie alors que j’avais à peine eu le temps de profiter de ma nouvelle liberté. Autant le dire sans détour, le sexe ne m’avait pas encore comblée et ce ne fut pas avec Cyril, ma première vraie histoire d’amour, que les choses se sont arrangées. Dans ma tête, j’étais une femme très libérée. J’imaginais souvent des rapports mettant en avant des moments insolites, plusieurs partenaires et les circonstances les plus variées. Dans ma tête, j’aurais été prête à toutes les aventures alors que mon corps me refusait le plaisir. J’avais régulièrement des orgasmes mais je sentais que mon corps pouvait aller plus loin. Bien plus loin, mais je ne pouvais aller delà des rapports les plus classiques. Le laisser jouir sur ma poitrine était déjà un exploit. Lui ne se plaignait pas et semblait se satisfaire au quotidien d’un rapport assez mécanique. Peut-être vivait-il d’autres aventures mais jamais rien n’est venu étayer cette idée. Pour ne plus être mécanique, il me fallait un verre de trop, que je buvais bien rarement. Alors j’arrivais ...
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