1. Je suis une pute


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, prost, facial, Oral journal,

    ... besoin. Toujours est-il que ce beau gosse me faisait un bien fou. Il était adroit, alternait les rythmes et les positions. C’était bon. Pas forcément la baise du siècle mais un vrai bon coup. J’ai aussi compris qu’il n’en avait que faire de moi ou mon plaisir, seul le sien comptait. C’était toujours plus moins cela avec les aventures d’un soir mais avec lui, plus qu’à l’accoutumée, je me suis sentie objet sexuel pour lui, comme lui l’était pour moi. Une digue s’est rompue en moi ce soir-là, ne me demandez pas pourquoi. Je me suis mise à jouir comme jamais et je ne me contrôlai plus du tout. À peine le temps de me mettre à quatre pattes, la position parfaite pour cette situation car la levrette ne peut être romantique, que je repartais de plus belle dans les aigus. Je jouissais de n’être qu’un vagin et il savait s’y prendre. Je n’exagère pas quand je dis qu’il n’avait que faire de ma présence. J’en veux pour preuve qu’il n’a fait aucun cas pour me sodomiser. Il est sorti de ma chatte, a planté son sexe sur mon anus. Il en a fait deux ou trois fois le tour avec sa queue. Je ne croyais pas à ce moment qu’il allait me sodomiser, la délicatesse de la pratique demandant un assentiment préalable. Il m’a prise d’un coup. J’ai crié à cet instant, autant d’inconfort que de mécontentement. Au deuxième coup, j’étais confuse d’avoir aimé, au troisième, j’en voulais encore. Au quatrième, je ne voulais plus qu’il sorte de là, le criant de tous mes poumons en essayant de déchirer les draps ...
    ... de mes poings crispés de plaisir. M’avoir fait jouir comme jamais m’a libérée d’une façon inattendue et excitante. J’avais accepté la sodomie comme n’importe quelle autre pratique, j’avais pris du plaisir en quelques instants. Il a attrapé mes cheveux dès le début mais une plus forte pression au bout de deux ou trois minutes m’a fait comprendre qu’il était temps que je me retourne. Installé entre mes jambes, moi au bord de l’asphyxie d’avoir tant crié, il a joui sur mon ventre. Quelques coups de poignet ont suffit pour qu’il se libère sur mon ventre plat et mes seins. J’ai découvert alors qu’il pouvait être bon de voir un homme jouir, de sentir son sperme sur son corps. Je ne sais pas pourquoi mais je savais que cette fois-là, j’avais franchi un cap. À aucun moment je n’ai été amoureuse de lui. Cela ne nous empêchait pas de baiser le plus souvent possible. Ces quelques semaines ont été comme une parenthèse enchantée dans ma vie. Il avait une libido déchaînée et je découvrais dans ma passivité un plaisir comme je n’en avais jamais connu. Il n’y avait pas un matin où je ne soulageais pas son érection matinale avec ma bouche. Nous avions vite eu nos habitudes. Il aimait me sodomiser dès que je rentrais du boulot. Il m’a prise en appui contre la porte d’entrée, dans la douche, sur le lit, la table de cuisine. Je vivais dans un petit appartement et j’aurais aimé avoir un palace rien que pour le nombre de pièces. Durant toute notre relation je suis restée assez passive, j’écoutais ...
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