Je suis une pute
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
prost,
facial,
Oral
journal,
... mon corps et mes sensations en fonction du moment, de la position, de son attitude. Lui se vidait les couilles et moi je faisais mon éducation sexuelle. Au bout de quelques semaines, j’ai mis fin à notre histoire. Je suis assez mignonne et je n’imaginais pas avoir du mal à rencontrer un autre homme, un pour lequel j’éprouverais peut-être un peu de sentiment et avec qui je pourrais expérimenter les découvertes de mon corps. Et puis je commençais à me lasser d’être sodomisée tous les jours à la même heure et de lui tailler une pipe à chaque douche. Même la fellation matinale perdait de son charme. L’amour, je ne l’ai jamais rencontré. J’ai rencontré certains hommes un quart d’heure, d’autres quelques semaines. Avec ceux-là, j’étais active, dominatrice mais pas dans le sens SM, je prenais juste les choses en main. *********** C’est un peu avant la trentaine que l’idée de la prostitution m’est venue. J’avais besoin d’augmenter mes revenus pour éviter les ennuis et l’idée m’est passée par la tête. Je me suis dit que non, je n’allais pas me prostituer, devenir une pute juste pour être plus à l’aise ou pour ne plus recevoir de courrier de la banque. C’est vrai que les temps sont durs, mais tout de même. Je n’avais pas d’enfants à nourrir, juste besoin de m’en sortir un peu mieux. L’idée est partie, revenue. Je n’osais croire qu’elle me traversait l’esprit et que surtout elle me dégoûtait bien moins que je ne l’aurais cru. J’ai fini par me dire que je pouvais le faire une fois, pour ...
... voir. Une petite annonce, un numéro de mobile prépayé, une chambre d’hôtel dans un truc miteux à l’écart de chez moi et j’aurais essayé. J’aurais baisé contre de l’argent. Peut-être qu’après ça irait mieux. C’est comme cela que je me suis convaincue que ce fantasme féminin, si seulement les femmes osaient le dire, aller devenir avec moi plus qu’un fantasme. Quant à savoir si je pourrais être à l’aise avec un inconnu, j’en avais croisé assez dans ma vie pour croire que oui. Mon plan était facile à mettre en pratique et deux jours après avoir posé une annonce sur internet, j’avais déjà un client. J’ai eu de la chance avec le premier, c’était un client très occasionnel de la prostitution qui venait là pour tromper son célibat. Je l’ai pris en main, l’ai sucé, l’ai laissé se défouler en moi. Il y a vraiment pris du plaisir et s’il n’y avait pas eu ce petit cadeau en arrivant, j’aurais pu jouir moi aussi. Cela serait resté une baise classique et ça aurait été ça de pris. En fait, ma première passe ne changeait pas vraiment de mes coups d’un soir. S’en sont suivies deux ou trois confessions sur l’oreiller de sa part. Une histoire avec une ex, un truc classique. Lui venait aussi là un peu pour ça. J’aurais pu me dégoûter d’avoir couché pour du pognon mais non, cela m’a fait un peu bizarre mais rien de plus. Je suis devenue une prostituée. Je suis consciente que mon activité est spécifique et que la façon dont je la pratique est privilégiée. Je ne suis pas une de ces filles de l’Est ...