Burn out (4)
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
Trash,
4- — Très bien me dit Jeanne en me faisant tourner sur moi-même. Igor, elle est à toi. L’effroi se lit sur mon visage, ce qui fait rire la maîtresse des lieux. Le géant s’approche de moi, et contrairement à ce que j’avais pu imaginer, il use de toute la délicatesse possible pour enlever mon ensemble. Fermement mais tout en douceur, il me met à genou devant la table basse sur laquelle il m’allonge. Pas besoin d’être devin pour savoir ce qui allait se passer. J’entends le zip de la fermeture éclair, le scratch de l’emballage du préservatif, le clac du latex sur le sexe de Frankenstein. Je ne vois rien et j’imagine un sexe gros comme un gourdin. Mon petit trou n’allait pas survivre. Un liquide froid coule le long de ma raie ; un doigt caresse ma rosette avant de s’insinuer à l’intérieur. Les battoirs du géant enserrent mes hanches, son sexe contre ma rosette. Il pousse, le sexe glisse et entre en moi. Le gourdin n’était qu’un bâton fin mais très long. Mais je le sens passer. Mon petit trou n’est pas habitué. En général, les flux dans cette partie du corps vont dans l’autre sens. Igor s’active quelques minutes puis se retire sans avoir joui. — Tu apprendras à toujours être propre à cet endroit. Je veux qu’Igor ou moi-même puissions t’enculer quand j’en aurai envie. — Bien Madame, dis-je d’une petite voix. — Je n’ai pas entendu. — Bien Madame dis-je plus fort. Des larmes coulent sur mes joues. — Montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue, dit-elle en écartant les cuisses. ...
... Je m’approche d’elle. Elle n’a pas mis de culotte. Son pubis n’est pas épilé mais bien taillé. Son parfum est très doux. Enfin il m’arrive quelque chose d’agréable. J’aime bien bouffer la chatte de mes partenaires et à en juger par leur réaction, je me débrouille pas trop mal. Mais Jeanne, c’était autre chose. Rien. Pas de réaction. Soit mes copines simulaient, soit Jeanne est totalement insensible. Pourtant, lorsque je l’avais surprise avec Karine, elle avait l’air d’aimer. — Ça suffit, tu peux aller te coucher, dit Jeanne. Vexé, je descends dans ma chambre. Enfin, j’allume la télé sur la chaîne d’info. Je tombe sur mon lit. On est au mois d’août. Cela faisait donc un peu plus de neuf mois que j’avais été enlevé. Quelle ironie ! Neuf mois pour mourir et renaître dans la peau d’une femme. J’écoute les informations. Le monde avait bougé. Des révolutions avaient éclaté ici et là ; le président faisait l’unanimité … contre lui ; la zone euro était en pleines turbulences et les bourses chutaient dangereusement. Pas très joyeux tout ça. Je zappe sur les différentes chaines puis finis par éteindre la télé. Je me démaquille, enfile ma nuisette et me couche. Je repense à ce qui m’arrive. Neuf mois pour passer d’ingénieur informaticien à jouet sexuel pour une ex-patronne et ex-figure politique condamnée à vivre recluse dans un château d’un autre temps. Les journées reprennent leur cours. Dès le deuxième soir, Jeanne me demande de sucer Igor. — Je n’ai jamais fait ça, dis-je — Tu vas ...