1. Burn out (4)


    Datte: 22/08/2021, Catégories: Trash,

    ... apprendre. Tu n’as qu’à penser aux filles qui te suçaient. Je dégage le sexe long du majordome et approche ma bouche. Les effluves d’une journée d’activité agressent mes narines. Igor avance le bassin, collant sa queue contre ma bouche. Je fais une grimace qui n’échappe pas à Jeanne. — Arrête de faire ta chochotte. SUCE ! Je desserre les lèvres et fais entrer le sexe. Je me concentre sur mes souvenirs pour oublier l’odeur et l’humiliation de la situation. Moi l’hétéro convaincu, limite macho, j’étais travesti en pute et je suçai un mec. Déchéance ultime. Igor se garde de me prévenir. Il bloque ma tête contre lui et éjacule dans ma bouche. Je manque de m’étouffer mais il s’en moque. Réflexe de survie, j’avale la semence dont le flot ne semblait pas s’arrêter. Il me libère de son étreinte et je m’affale sur le tapis, toussant à cracher mes poumons pour reprendre mon souffle. Comme la veille, il s’éclipse discrètement. — À genoux salope, ordonne Jeanne. Pas encore remis de mes émotions, j’obéis. Elle relève ma jupe, écarte le string et colle quelque chose contre ma rosette. Elle pousse, forçant le passage. Je crie de douleur, mais elle s’en fout. — Parce que tu crois qu’on toujours envie de se faire enculer ? Vous les mecs, vous croyez que c’est naturel. Maintenant tu comprends que ce n’est pas le cas. Elle se retire pour mieux revenir. Elle ramone mon cul pendant une dizaine de minutes puis me congédie sans aucun commentaire. Je prends un long bain espérant qu’il me ...
    ... nettoierait de l’humiliation. Il n’en est rien. Les jours se suivent. Je suce, je me fais enculer et je bouffe la chatte de Madame. Mais à chaque fois, elle ne manifeste aucune réaction. Ce qui met mon honneur de mâle à rude épreuve. — Comment tu te sens en femme, me demande Jeanne alors que je débarrassais la table. — Bof … — Cache ta joie ! — Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Que je suis heureux ? Ben non, je ne le suis pas. Vous avez volé ma vie. Et en plus vous voulez que je vous dise merci ? — Oui. — Vous pouvez toujours courir ! Baffe. — Je vois. On se rebelle. Et bien soit. Viens avec moi. Elle me traîne à l’étage supérieur, étage fermé et dont la clé était pendue à son cou. Je trottine derrière elle, manquant de tomber à plusieurs reprise et me fait entrer dans une salle obscure. Elle tourne l’interrupteur et je comprends qu’il pouvait y avoir encore pire que ce que j’avais vécu jusqu’à présent. Pour en avoir déjà vu sur internet, je me trouvais à l’entrée d’un donjon, antre de maitresses dominatrices. Jeanne m’attache à une croix, enlève mes vêtements et me fouette en bonne et due forme. Je me sens revenir dix siècles en arrière, en plein moyen Âge. — Alors, toujours rebelle ? — Oui Les coups redoublent. Mon dos et mes fesses me brûlent, mes yeux me brûlent à cause des larmes. — Alors ? Le dernier rempart de mon honneur vole en éclat. — Merci madame. Merci de ce que vous avez fait pour moi. Elle me détache et je m’écroule sur le sol. Jeanne me prends dans ses bras. ...