1. L'université : de la soumission à la consécration (15)


    Datte: 22/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... qui peut bien être cette amie commune, sachant qu’à ma connaissance nous n’en avons pas ! — Elle a réuni des preuves de ce qu’elle affirme dans le dossier que tu as là. — Et qu’est-ce qu’elle affirme ? demande Émilie sans relâcher sa garde. — Eh bien… Je suis un peu gêné de lâcher le morceau, non seulement parce qu’il faut que je le sois vis-à-vis du rôle que je joue, mais aussi parce que je répugne sincèrement à lui faire du mal. Or ce que je vais lui révéler la fera souffrir, inévitablement. — Paul te trompe. Je l’ai lâché dans un souffle, comme un boulet de canon brûlant. — Quoi ?! demande-t-elle, sans doute plus par réflexe qu’autre chose, car elle semble avoir très bien compris. — Paul te trompe. Je l’ai cette fois répété plus lentement, et je vois que les mots commencent à faire leur effet sur la pauvre Émilie. Son visage se décompose, et elle se jette presque sur le dossier pour voir les fameuses preuves. Je les découvre en même temps qu’elle, et je vois que Sonia n’a pas démérité. Tous les clichés sont sans équivoques (je me demande d’ailleurs comment elle a bien pu les avoir, mais je soupçonne de toute façon depuis un moment que l’université soit truffée de caméras), mais aucun ne laisse apparaître qui que ce soit d’autre que Paul de manière discernable. On peut en revanche voir que ses partenaires sont diverses, et je reconnais même Camille sur une des photos, même si son visage n’apparaît pas. Une larme roule sur la joue d’Émilie, mais je vois bientôt la colère ...
    ... remplacer la tristesse. Elle essuie rageusement cette preuve de sa faiblesse momentanée et me questionne sans ménagement : — Pourquoi tu me montres ça ? — Je te l’ai dis, je viens de la part d’une amie commune. — Qui est-ce ? Et comment elle les a eues d’abord ? J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche pour lui répondre qu’elle m’interrompt déjà. — Et pis merde, peu importe ! s’exclame-t-elle. Je dois reconnaître que je suis soulagé, parce que je ne savais absolument pas quoi lui répondre. — Mais quand est-ce qu’il a bien pu faire tout ça ? demande-t-elle encore. Je lui explique alors ce qu’il en est de « L’éveil », de ce qui se passe lors des soirées organisées par l’association. — Et tu en fais partie aussi ? — Oui, suis-je bien obligé de concéder. Mais j’y suis avec ma copine, jamais on ne ferait quoi que ce soit derrière le dos l’un de l’autre. Je songe alors rapidement à toutes nos aventures de ces dernières semaines, et je me dis que cette dernière phrase est vraiment un monument d’hypocrisie ! Mais là encore peu importe, l’important est ce qu’Émilie croit. Et de toute façon c’est maintenant vrai, c’est tout ce qui compte, non ? — Je vois, lâche enfin Émilie. Je devine qu’elle est vaguement dégoutée par tout ça, qui n’appartient vraiment pas à son monde, mais en même temps elle est désormais une quasi Succube et je suppose – non, je vois – que ça l’excite aussi beaucoup. Elle réfléchit encore quelques secondes et je me demande où tout cela va l’entraîner, lorsqu’elle ...
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