L'université : de la soumission à la consécration (15)
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... personnes baiser devant moi m’excite énormément. J’adore humilier les autres, et je sais bien qu’à la place de Justin je prendrais un pied d’enfer. L’envie de baiser devient dévorante, mais outre que je ne puisse rien faire parce que je n’ai personne à disposition, de toute façon je reste incapable de bander. Quel salaud ! Surtout que ma mère est très excitante, je rêverais de toucher ses seins… Cette pensée est celle de trop, je ne parviens pas à retenir mes larmes. Depuis que j’ai quitté l’enfance, je ne me souviens pas avoir pleuré une seule fois. Mais en quelques jours, Justin a réussi à me briser totalement. Il faut dire qu’il a su taper là où ça fait mal. Je vois son énorme bite entre les loches de ma mère, qu’elle maintient elle-même pour le branler. Il lui colle de temps à autres dans la bouche, et au lieu de s’en plaindre elle le pompe avec avidité. C’est pas possible, c’est pas ma mère ! — Je crois qu’au fond t’adore être traitée comme ça, hein ? grogne bientôt Justin, qui prend apparemment plaisir à me torturer. — Glmrfl… lâche seulement ma mère, qui a un bon morceau de bite en bouche. — Regarde-toi, insiste-t-il, tu me suces tellement bien que tu en baves sur tes nichons. Quelle trainée ! T’imagine si ton fils te voyait en ce moment ? Je jurerais voir un sourire vicieux s’épanouir au coin des lèvres de ma mère. C’est impossible, il la force ! Maman n’est pas comme ça… En même temps, j’ai bien compris l’allusion très peu subtile à ma propre mise en scène, quand ...
... j’ai couché avec sa copine. Le salaud se souvient, et il se venge avec les mêmes armes ! Ou peu s’en faut, parce que je songe avec soulagement qu’au moins, avec Émilie, je suis sûr de ne rien risquer. Quoique, est-ce si sûr ? J’étais bien persuadé que ma mère était un ange qui ne connaissait de la sexualité que la pure partie procréative, or voilà qu’il me la fait découvrir salope accomplie. Au-delà de la douleur et de l’humiliation qu’il m’inflige, il a réussi à souiller l’image que j’avais d’elle à jamais. Que vais-je encore devoir subir après ça ? Pendant que je me pose un millier de questions, Justin ordonne à ma mère de se lever et il la plaque contre son propre bureau, celui en-dessous duquel je me cache. Il la fait se placer en équerre, debout à côté du bureau mais le buste collé contre, ce qui fait que j’ai une vue immanquable sur le vagin de ma propre génitrice, à quelques centimètre de mon visage ! Je n’ai toutefois guère le temps d’en profiter ou d’en être dégoutté, puisque l’orifice en question est bientôt remplit par la bite de Justin. Il la baise sous mon nez ! Je ne sais toujours pas ce que je dois faire : manifester ma présence en le suppliant d’arrêter ou en m’interposant, ou rester ici et ne rien faire. Je n’ai pas encore pris de décision que le choix s’impose tout seul, sous la forme d’un sanglot un peu plus fort que les autres. — Il y a quelqu’un ? demande ma mère en sursautant. Ce n’était pas prévu ! Désespéré, humilié, je sors de sous le bureau en baissant ...