Le sot de l'ange
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
gymnastiqu,
amour,
strip,
pénétratio,
hdanus,
humour,
... soie blanche se sentent bien seules pour encore dissimuler jusque sous la taille la douceur de la peau nue. Le final est proche. Côte à côte, nous tournant le dos, elles se regardent d’un air entendu, se balancent et se dandinent. Chacune des chemises, insensiblement, glisse le long de leurs bras, dénudant les épaules, les omoplates, la taille. Un bras s’extrait, l’autre récupère la chemise, la ramène vers l’avant. Offrande de deux nudités diaphanes. Côté pile seulement. Dernières mesures. Elles se retournent lentement, une main ramenant la chemise ballante contre la poitrine, l’autre transformant le couvre-chef en cache-sexe.[NDLA : là, qu’est-ce que j’avais dit ! Pas de dessous dessous.] Elles font face, regard effronté, sourire provocant. Dernières notes. Deux mains et leurs chapeaux se croisent soudainement, le temps d’un éclair roux, pour d’un magique tour de passe-passe échanger leurs places. La musique s’arrête. Les mains s’ouvrent. Les chemises tombent, laissant deux majeurs jouer avec les pointes de seins qui font surface. Plus bas, les chapeaux libérés font place à deux mains curieuses qui investissent la toison enflammée de l’autre effeuilleuse. Les visages se tournent l’un vers l’autre, se rapprochent. Les lèvres s’unissent à nouveau, les langues n’ont plus qu’à se savourer en terrain déjà conquis. La complicité n’a plus besoin du regard. Les yeux se ferment. — Algoletto, arrête un moment, j’ai besoin de reprendre mon souffle.— Ça tombe bien, Algo aussi était en ...
... apnée depuis un moment.— Mais comment ont-elles pu réussir une telle performance artistique sans avoir pu répéter ?— Ben voyons, j’étais bien sûr à la manœuvre. Instillation simultanée des mouvements, qu’elles coordonnaient du regard.— Alors là, bravo ! Chapeau, l’artiste. Applaudissements d’Algo qui ne s’en remet pas, sa nudité à lui exprimant un besoin viril très affirmé. Pas de réaction notable chez les filles, entièrement sous l’emprise des sensations provoquées par leurs langues et leurs doigts partis à l’aventure dans des contrées douces et humides. — Dites, je ne suis pas de trop ?— Non-non, tu peux venir te joindre à nous et nous caresser les fesses. Rien de plus pour l’instant. Ne viens pas nous distraire de nos explorations intimes, on fait connaissance.— Mais, Algoletto, c’est de la torture mentale éhontée, ça !— Ah, tu trouves aussi ? Elles savent y faire, hein ? Algo, les mains flattant chacune des croupes, tente de reprendre l’initiative : — Écoutez, sur la base de ce que j’ai vu, je ne peux pas vous départager. Pour désigner la meilleure, mes sens auraient besoin de plus d’éléments de comparaison.— On te fait ça tout de suite alors.— Si on en discutait d’abord un verre à la main autour de quelques grignotines ?— T’as gagné, on redescend sur Terre. Mais tu ne perds rien pour attendre. Et voilà nos deux nouvelles amies qui rejoignent en riant la table joliment garnie, chacune tirant d’une main le même naturel et solide ustensile pour guider un animal bien docile. ...