Le sot de l'ange
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
gymnastiqu,
amour,
strip,
pénétratio,
hdanus,
humour,
... quelle fièvre vous haBITE ? Je suis CONquis. Sachez que jamais je ne reCULe devant – si je peux me permettre – une adorable vide-COUILLE.[NDLA : voilà, ça c’est fait. La scène de baise est juste en-dessous.]— Ah, Monsieur Rocky, je vous en prie, vite, j’ai le con bavant sa mouille pour votre bite. Et je voudrais que vos couilles me battent le cul au plus vite…[NDLA : ça c’est au cas où la procédure de recherche de Marcel ne reconnaît pas les majuscules.]— Oh Madame Thérèse, voyez comme je vous comprends. Je suis d’une nature rigide mais combien accommodante. Prenez vos aises. Étendez-vous là, sur le trampoline. Une bonne seconde plus tard, Madame Thérèse est désapée, allongée sur la membrane élastique qui s’étire de joie sous une très féminine nudité en chaleur. — Ouvrez bien les cuisses, Madame Thérèse. Je m’élance avec virulence, arme bandée, pointée vers le centre de la cible. Je lance ma violence conquérante, irrésistible. Je la plante en vous, au plus profond, inflexible, invincible. La sentez-vous ?— Oh Monsieur Rocky, que vous êtes fort, que vous êtes grand ! Faites-la bouger maintenant. Sautez-moi, emportez-moi, éclatez-moi !— Laissez-moi faire, Madame Thérèse. Mon trampoline va se faire typhon, et vous expédier au plafond. — Continuez, Monsieur Rocky, ouh, – ouh – ouh, le rythme est bon, ouh, – ouh – ouh, vous êtes bon, ouh, – ouh – ouh, j’ai bon – bon – bon, je vois les étoiles, ouh, – ouh – ouh, je monte au ciel, ouh, – ouh – ouh, j’y suis, ouh, – ouh – ...
... oiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih…— Ah, Madame Thérèse, vous y êtes déjà ? Attendez, vous n’avez rien vu. Je vais vous faire connaître le nec plus ultra, le salto du Kamasutra. Accrochez-vous à moi. Je me relève pour empoigner les anneaux qui sont là, juste au-dessus de nous. Voilà, vous y êtes ?— Allez-y, Monsieur Rocky. J’ai les bras qui emprisonnent votre torse, les jambes nouées autour de vos hanches. Et votre trique, crévindieu, me cheville la barrique au mieux.— Attention, Madame Thérèse : d’abord quelques sauts en me tenant aux anneaux. — Maintenant, Madame Thérèse, n’ayez pas peur. C’est parti pour les culbutes. Un salto en avant, un salto en arrière. Et on enchaîne. — Madame Thérèse, tout va bien ? Je vous sens toute molle. Vous ne me tenez plus. Vos bras, vos jambes, plus rien ne me serre. Enfin, presque plus rien. Heureusement d’ailleurs, sinon c’était la chute. Je vais vous redéposer sur le trampoline. Là, c’est bien. Si vous pouviez maintenant tout desserrer, ce serait parfait. Faites un effort. Voilà, encore un peu, doucement. Attention, je vais me dégager. — Madame Thérèse, vous m’entendez ? Vous êtes toute pâle. Vous avez les yeux tout révulsés. Monsieur Rocky a devant lui Thérèse en extase. Mais elle n’est ni sainte, ni de marbre, elle.[NDLA : vibrant hommage à Gian Lorenzo Bernini, dit "Le Bernin" (1598-1680).] — Revenez à vous, Madame Thérèse. Attendez, je vais vous aider à vous relaxer. Laissez-moi faire un coquinou câlinou à votre chouminou. Madame Thérèse, complètement dans ...