1. L'infirmier (1)


    Datte: 24/08/2021, Catégories: Gay

    J’étais en retard ce matin-là. Manque de chance, il avait gelé dans la nuit, et il y avait du verglas. Je pris ma voiture en essayant de trouver le compromis entre mon retard et la route glissante. A un rond-point, arriva ce qui devait arriver. Je heurtai un autre véhicule, pas trop violemment et je finis ma course contre un arbre. Ma tête heurta l’arrière du siège, et je restai comme étourdi. Le conducteur de l’autre véhicule vint voir si je n’avais rien de grave. Je répondis que non… Et je perdis connaissance. Je repris conscience sur un lit d’hôpital, une perfusion dans mon bras. Mon voisin de lit était l’autre conducteur. Me voyant réveillé, il me rassura, nous avions tous deux été examinés. Nous n’avions a priori rien de bien grave, mais nous étions bon pour rester quelques jours en observation. Nous nous présentâmes : moi Jean, lui Pablo. Il avait bien le physique de son prénom, brun et râblé. Nous avions tous deux une trentaine d’années. Un infirmier entra. Me voyant réveillé, il me rassura, puis décida de contrôler ma température. Il rabattit les draps, me fit mettre sur le côté, et remonta la longue chemise que je portais pour me dénuder le cul. Je pensais aussitôt, que dans la position où j’étais, mon voisin de chambre pouvait mater mon cul. Comme j’étais gay et assez exhibitionniste, l’idée n’était pas pour me déplaire. Au lieu de m’enfiler directement le thermomètre, l’infirmier m’écarta les fesses, et me lubrifia légèrement l’anus. Je sentis ma bite se dresser. ...
    ... Heureusement dans la position où j’étais l’infirmier ne pût rien voir. Il enfila ensuite le thermomètre. Après l’avoir nettoyé, il annonça à mon voisin qu’il allait le contrôler aussi. Je notai avec intérêt que ce dernier s’installa en me tournant le dos, et que j’allais donc pouvoir profiter du spectacle. Il en valait la peine. Il avait un cul légèrement poilu, dont la blancheur contrastait avec le reste du corps, bien bronzé, ce qui le rendait très excitant. Il me sembla que l’infirmier insistait bien pour le lubrifier, et, à un moment, j’aurais juré qu’il avait inséré un bout de son doigt. Ayant enfin pris la température, l’infirmier repartit. Vu ma position dans mon lit, mon voisin ne pouvait pas ne pas savoir que j’avais tout maté, comme lui avait dû le faire pour moi. Dans la nuit, je fus réveillé vers 23h par la lueur projetée dans la chambre par la porte qui s’ouvrait. L’infirmier était de retour. J’étais tourné vers mon voisin, qui, lui, me tournait le dos. Les yeux mi-clos, faisant semblant de dormir, j’épiais. Je vis l’infirmier dénuder le cul et écarter les fesses avec deux doigts. Cette fois-ci ça dura beaucoup plus longtemps que l’après-midi, et le doigtage était évident. D’autant plus que l’infirmier avait passé son autre main dans son pantalon, et il me semblait qu’il se branlait. Vers 4h du matin, nouvelle visite. Cette fois-ci, je devinai que ça allait être mon tour, et, sur le ventre, j’écartais les cuisses pour lui faciliter le travail. Je sentis mes fesses ...
«123»