L'infirmier (1)
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
Gay
... partit, non sans avoir remis un petit mot, dans une enveloppe à l’infirmier. Outre mes coordonnées téléphoniques, le message était court, mais sans ambiguïté : « J’ai adoré avoir ta bite dans mon cul. Il est à ta disposition aussi souvent que tu voudras » qxdqiiay Dans la semaine même, l’infirmier m’appela et me dit être libre samedi. Je lui donnai rendez-vous à 14h chez moi. Puis j’appelai Pablo pour lui demander de venir dans la tenue où je serai : en jogging sans slip. Le samedi, quand l’infirmier arriva, il eût l’agréable surprise de trouver Pablo à mes côtés. Je précisai tout de suite que Pablo avait les mêmes envies que moi. J’installai l’infirmier sur le canapé, et Pablo sur un fauteuil. Je partis chercher des boissons et m’installai sur l’autre fauteuil. Après quelques gorgées, je me levai, me plaçai devant l’infirmier, lui tournant le dos, baissai mon pantalon et me penchai, mains aux genoux. Je sentis aussitôt un doigt s’insérer dans mon anus. Pablo, se léchant les lèvres d’excitation vint se placer à côté de moi dans la même position et l’infirmier me doigta de la main droite et Pablo de la main gauche. Mais il s’interrogeait pour savoir lequel il allait enculer. Je lui dis que Pablo en mourrait d’envie, et que je restais à sa ...
... disposition ultérieurement. Comme nous l’avions convenu, Pablo s’installa à quatre pattes, le cul à l’air, sur la table basse du salon. Je me positionnais derrière eux, un peu sur le côté, officiellement pour mater. En fait j’avais discrètement sorti mon portable pour filmer une bonne partie de la baise. Quand l’infirmier eût terminé, il s’apprêta à partir. Je lui montrai alors le film qui aurait un effet dévastateur s’il était communiqué à l’hôpital. Il rigola, en me disant que tout l’hôpital était au courant, et que certains toubibs l’enculaient régulièrement. Il était donc d’accord pour se soumettre à nous. Il revint régulièrement les samedis. Au début nous l’enculions chez moi. Puis nous le baisâmes en public dans un sauna. Nous l’entrainâmes dans des bois pour le déculotter devant des mateurs. Sur une plage gay, il dut se mettre à plat ventre, jambes écartées, pendant que Pablo et moi, à ses côtés, invitions des mecs à venir le tripoter. L’infirmier appréciait beaucoup ces jeux, mais le « côté passif » qui existait chez Pablo, comme chez moi, était frustré. Et bientôt nous devînmes trois potes dont l’un se soumettait, à tour de rôle, aux envies sexuelles des deux autres, si possible devant des mateurs, car nous étions tous trois exhibitionnistes. Fin