1. L'infirmier (1)


    Datte: 24/08/2021, Catégories: Gay

    ... écartées, et un doigt me masser la rondelle, puis pénétrer. L’infirmier commença à faire aller et venir son doigt. Je lui envoyai un signal en contractant et relâchant mon anus. Surpris, l’infirmier s’arrêta. Mais bientôt inséra deux doigts. J’écartais encore plus les cuisses en signe d’assentiment. Il ne se gêna plus pour continuer tout à son aise. Puis je l’entendis haleter. Il devait être en train de jouir. Il retira ses doigts et repartit. Le lendemain matin, on annonça à mon voisin un dernier scanner de contrôle à 14h, examen qui devait durer une heure. Je songeais aussitôt que j’allais rester seul une heure dans ma chambre à la disposition de l’infirmier. A 14h, une fois seul, je me mis à plat ventre, la chemise remontée dévoilant mon cul, sous les draps, les cuisses écartées, et je fis semblant d’être profondément endormi. Comme je m’y attendais, l’infirmier arriva vite, et referma la porte à clef derrière lui. Il souleva les draps. Le spectacle que je lui montrai était sans équivoque. Il grimpa sur le lit, s’agenouilla entre mes cuisses, et me doigta, deux doigts à la fois d’entrée. Quand il retira les doigts, je devinai la suite et arquai mon cul pour faciliter les choses. Je sentis sa bite me pénétrer en douceur, et il commença à me baiser, couché sur moi. A un moment je l’entendis me chuchoter à l’oreille : « Je sais que tu ne dors pas. Restes comme tu es. Tu as un cul délicieux. J’espère que je te donne du plaisir » Je chuchotais un oui d’approbation. ...
    ... L’infirmier termina mon enculage et repartit. Mon voisin revint du scanner. Je ne lui dis mot de l’histoire. Vers 16h l’infirmier revint prendre la température. A moi seul, puisque, après le scan, mon voisin allait rentrer chez lui. Je me positionnai pour offrir un bon spectacle à Pablo. Cette fois ci, l’infirmier ne se gêna pas pour me doigter longuement le cul sous le regard de mon voisin. Puis il repartit. Je me retournai avec un sourire égrillard vers Pablo. Lui aussi se marrait. Il me dit : « Vicieux, cet infirmier, non ? » Je lui répondis que oui, et lui racontai comment il m’avait enculé en son absence. Il n’en revenait pas et m’avoua qu’il regrettait ne pas avoir vécu la même expérience. Je lui assurais que j’organiserai ça, une fois sorti de l’hôpital. Sur ce, il partit, après que nous ayons eu échangé nos coordonnées téléphoniques. La nuit, j’étais seul, et j’étais certain de la visite de l’infirmier. Je me positionnais donc en conséquence. Il vint vers 11h et ne tarda pas à m’enfiler. Je recommençai à exprimer mon appréciation en contractant et relâchant alternativement mes sphincters. Ca augmenta son excitation, et il se mit à me bourrer le cul bien virilement. J’émis quelques grognements de plaisir « T’aimes ça, petit salopard. Tu aimes bien une bite dans ton cul. Je vais bien te baiser, bien te la faire sentir » Et, effectivement, quand il partit j’avais le cul un peu endolori. Le lendemain matin, on m’annonça que je pouvais rentrer chez moi. Je rangeai mes affaires et ...