1. La soirée d'entreprise


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... salle. Elle décroche son soutien-gorge sous les sifflets de quelques collègues, hésite, puis tend la pièce de vêtement à bout de bras en souriant, heureuse de l’effet produit. Ses seins magnifiques, opulents et fermes nous pointent de leurs deux yeux borgnes. Juste le temps d’être éblouis qu’elle s’attaque des deux mains au slip qui glisse majestueusement sur ses cuisses galbées, dans un silence où chacun retient son souffle. À l’avant, son pubis soigneusement taillé en pointe, à l’arrière, le serpent qui s’arrête en point d’interrogation sur le haut de sa fesse gauche. Elle tourne sur elle-même que tous puissent se rincer l’œil. Suzanne s’approche de moi, mon regard est flou, elle me prend par la main, m’impose quelques pas de danse, se love dans mes bras comme une chatte en chaleur, met la main sur ma braguette et façonne mon sexe avec des gestes de potière en train de lever la glaise. Je me laisse faire, souris à la cantonade, un peu inconscient des conséquences de mon apathie. La ceinture de mon pantalon s’est magiquement défaite, le vêtement a glissé sur mes chevilles. La secrétaire du patron triture mon slip, entoure ma verge de tissu, écarte l’échancrure inférieure pour faire sortir mes bourses gonflées de désir. Enfin, brusquement, elle met mon vit à l’air et le caresse dans le sens le plus érotique, celui de la longueur, mon gland saluant chacun de son air un peu congestionné. Suzanne, un sourire énigmatique sur les lèvres, s’agenouille lentement et, très ...
    ... professionnelle, elle me prodigue une fellation de derrière les fagots. Avant que je n’éclate dans sa bouche, elle se relève, jette un œil sur l’assemblée de voyeurs, se retourne, se baisse, ses mains tenant ses chevilles et dit d’une voix rauque : — Enfonce-toi en moi…! L’ordre est impératif, je me mets à la tâche avec application… ---oooOooo--- Quinze minutes après les évènements décrits, lorsque tout est "consommé", mon regard cherche à savoir qui a vu la scène irréelle dont nous avons été les acteurs. On me fait remarquer avec soulagement que notre patron, Jacques, était parti depuis plus d’une heure, il n’a donc rien vu. Mais beaucoup d’autres sont témoin de notre "folie", ça n’est certainement pas très reluisant pour le directeur du personnel. Enfin, nous verrons les réactions dès lundi… Pour la fin de la soirée, je danse exclusivement avec Suzanne, elle se blottit contre moi, m’embrasse avec fougue, me dit son envie de recommencer. Nous partons chez moi, elle ne peut attendre et se déshabille dans la voiture. C’est nue à mon bras qu’elle monte les escaliers menant à mon appartement au troisième étage. La nuit et le week-end furent torrides, la nudité notre habit, les jeux de l’amour variés, les repas entrecoupés de baisers, les baisers complétés par des caresses, elles-mêmes terminées par les explosions du sexe. Nous avons approché le nirvana, tant sur le plan performances que sur le plan sentimental, l’entente parfaite où la satisfaction de l’autre passe avant sa propre ...
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