1. La soirée d'entreprise


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... personne. Suzanne m’avait tapé dans l’œil dès sa venue dans l’entreprise, physiquement, bien sûr, mais aussi par son caractère, joyeux, mais pas trop, espiègle, modérément. Sa faculté à être "bien" dans sa peau, l’attention qu’elle met à ce que tout le monde soit à l’aise, bref, son empathie, voilà peut-être le trait de caractère le plus marquant, celui que l’on met en évidence lorsqu’on la côtoie. ---oooOooo--- Lundi, de retour au travail, j’ai l’impression que chacun me regarde de travers, esquisse un sourire contrit, semble vouloir me dire quelque chose, mais se tait. Je redoute le pire avec ma secrétaire Marie-Pierre. Elle me reçoit froidement d’un bonjour murmuré, ne me sourit pas, laisse les yeux baissés en me parlant, visiblement mal à l’aise. La traditionnelle séance de travail du lundi avec le patron et sa secrétaire Suzanne se passe au mieux. Nous réalisons bêtement notre travail, ne nous regardant pratiquement pas, comme si rien ne s’était passé entre nous. Nos états d’âme ne comptent pas, mais la question de savoir si le patron sait quelque chose nous tarabuste. Rien ne transparait, aucune allusion ne transpire. Franchement, je ne suis pas très fier de ce qui s’est passé, mes principes étaient pourtant simples : "Pas de liaison intimes avec des personnes de l’entreprise, garder la distance, ne pas être susceptible de critiques ni de pressions personnelles dans l’exercice de ma fonction". Sur ce plan-là, je viens de faire fort, une liaison avec une secrétaire, ...
    ... même "celle du patron", passe encore, mais "baiser" en public, devant mes collègues, par-dessus le marché, quelle honte… C’est dans cet état d’esprit que j’entre vers 10 heures au secrétariat de direction, le bureau de Suzanne. De dos, Jacques, le directeur, en grande conversation avec sa secrétaire. En contournant l’homme, le regard tombe sur un profond décolleté, la blouse à moitié ouverte, les seins aux trois quart visibles, libres de toute contrainte, livrés au regard masculin. Un peu plus bas, la jupe relevée à quelques centimètres du pubis, les cuisses croisées l’une sur l’autre, largement dénudées, Suzanne est sans complexe. Sachant en plus qu’elle est nue en-dessous, puisqu’elle n’a mis ni soutien-gorge, ni slip ce matin en partant, j’ai des bouffées de chaleur qui m’envahissent. Je bafouille : — Excusez-moi, je reviendrai plus tard…— Non, au contraire, nous avons justement besoin de toi, me dit Jacques impassible, pour régler le problème de ce transport frigorifique depuis Le Havre, voici le dossier. Allons en parler dans mon bureau, Suzanne, venez avec nous… En se penchant pour se lever, la secrétaire nous découvre son pubis en décroisant les jambes puis l’entier de ses seins par l’échancrure de son décolleté. Ouf, quelle chaleur ! Le patron, lui, reste de marbre, je suis pourtant certain qu’il en a vu autant que moi. Très professionnellement, nous réglons notre problème, la secrétaire prend des notes, puis je retourne à mon bureau. Le soir, Suzanne, qui a élu domicile ...
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