1. L'importun 7


    Datte: 25/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... que tu entrais. Tu connais la suite. – C’est vrai. Tu as voulu me mentir. Dieu comme tu mens bien ! J’ai senti votre complicité. Je me suis douté d’une partie de vos activités. Ton Sylvain parlait sexe, couple, cul, partage de la femelle entre mâles avec une telle aisance qu’il était impossible d’imaginer que rien ne s’était passé entre vous. – Rien de vraiment grave. Un flirt poussé oui. Quelques attouchements trop vigoureux, cause d’une abondante production de lubrifiant. Je regrettais sincèrement d’avoir flanché. J’étais heureuse de ton retour qui m’épargnait le déshonneur. Son fichu collier a tout gâché. Tu m’as refusé le tien. Tu as piqué la plus terrible colère de ta vie quand il t’a proposé de t’enculer. Quand il est revenu, tu lui as tiré les vers du nez. Il a vendu la mèche. Ses aveux m’ont désespérée et puisque tu le voulais, j’ai accepté Sylvain en cadeau d’anniversaire. Où avais-je la tête. ? Mon cul y est passé et j’ai subi malgré la première douleur.. Le seul bénéfice de l’histoire, c’est que je sais désormais ce qu’est une double pénétration. Ma chair s’en souviendra. – Plus jamais, as-tu proclamé, tu ne pourras t’en priver. Or que ferai-je d’une femme aussi attachée à ces pratiques déviantes selon moi.? Je te faisais confiance, tu m’as trahi et tu as juré de t’adonner hebdomadairement à ces jeux contraires à la fidélité que je chéris. – J’avais bu, j’étais désespérée parce que je savais que j’allais te perdre. Et puis, tu avais versé deux nouvelles coupes de ...
    ... champagne. J’ai dit n’importe quoi, des conneries liées au mélanges de nos trois corps. - Mélange que tu avais organisé avec ton gourou sodomite. - Il l’exigeait ou menaçait de m’accuser de l’avoir accosté et racolé comme une vulgaire prostituée, sur le trottoir. J’ai commis une sottise supplémentaire qui t’a décidé à me quitter et que je regrette amèrement. Toute cette soirée a détruit ma vie. Me pardonneras-tu cette nuit d’égarement ? Je fais amende honorable. Sois miséricordieux après quatorze années d’amour sincère. – Tes explications et la version d’un témoin oculaire m’inclineraient à l’indulgence s’il ne s’agissait que d’une faute unique étalée sur cette après-midi et sur cette nuit. Je me sens aussi coupable de t’avoir livrée à ce porc, par vengeance et pour lui enlever le goût de te posséder une fois qu’il t’aurait prise. C’est ma sottise à moi. Mais il est une chose que je ne pourrai jamais pardonner. – Ce n’est pas possible. De quoi s’agit-il ? - A ce gredin tu as confié un secret que tu m’avais toujours caché. Etait-il plus digne que moi de le connaître ? Et ce secret est la pire injure que tu aies pu me faire. Enfin, j’ai appris de la bouche de ton amant que, si je n’étais pas père, c’était parce que tu ne voulais pas d’enfant de moi. Sylvain savait que tu me trompais en permanence, que tu portais un stérilet. Il ne savait pas que ton gynécologue l’avait posé à mon insu. Tu aurais eu honte de lui révéler tes motivations et il a ri de moi. Pourquoi, uniquement pour ...
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