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L'importun 7
Datte: 25/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... ne pas être déformée par une grossesse ? Ou parce que le truc en question te permettait de batifoler sans danger de tomber enceinte et de baiser à volonté, de multiplier les conquêtes, de faire ta pute ? Ca, c’est impardonnable, le reste n’est que broutille. Faire un coup pareil à un mari, ne pas prendre son avis avant la décision et la pose de l’appareil. Ce port volontairement tu du stérilet est le pire signe de mépris d’une épouse envers son époux. De plus, comment as-tu pu me laisser croire que j’étais stérile alors que ce subterfuge te mettait à l’abri de la fécondation. Je t’ai fait l’amour et mes espoirs comme mes efforts sont restés vains. Tu t’es moquée trop longtemps et trop cruellement de moi. Tu m’as pris pour un con. Non, je ne te pardonnerai jamais de ne m’avoir pas assez aimé pour me consulter. Tu as ta réponse. Retourne à tes chienneries, bois, soule-toi et continue à faire la salope. Marie pleure. C’est ce qu’elle fait de mieux. Elle aurait du réfléchir. Pourquoi vouloir rester avec un homme qu’on a mis plus bas que terre. Elle finit par répondre d’une voix brisée. – Le stérilet. J’ai dit à Sylvain que j’avais un stérilet, c’est vrai, pour ...
... me rendre intéressante ; pour qu’il me prenne pour une femme moderne. Une blague de femme qui a trop bu et qui veut expliquer pourquoi, à trente-huit ans, elle n’a pas d’enfant. Y a-il un gynécologue dans cette ville. Allons le voir et il te dira si stérilet il y a. La souffrance du manque d’enfant est bien un point que nous avons en commun et qui devrait nous réunir. – Pardon, dans ce cas, pour mes paroles blessantes Et pour mes soupçons indignes. Comment envisages-tu l’avenir ? – Mon avenir est avec toi, si tu veux encore de moi. Mon avenir professionnel se présente de deux façons. Ton ami Gérard m’a présenté l’emploi vacant ici comme un pis-aller. Il me l’a fortement déconseillé. Mais il m’a poussée à accepter une mutation interne vers un poste en voie de se libérer. Il aurait plaisir à m’installer à ta place, moyennant quelques faveurs. Il n’a pas osé préciser, mais sa main sur ma cuisse et ses yeux langoureux ne m’ont pas trompée. Il faut voir comme il me regardait. Il était presque suppliant. C’est toi que je préfère, que j’aime. Il m’offre un bel avenir avec lui. Je ne te demande pas de choisir pour moi. Accorde-moi ton pardon, je revivrai. A suivre.