1. Un stage de formation intensive


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, 2couples, hplusag, inconnu, sauna, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, aliments, extraconj,

    ... moi, et que, malgré de gros investissements en chirurgie esthétique, les deux femmes ont plus de cinquante ans. Je me sens le centre d’intérêt de tous ces messieurs, auxquels M. Lelievre me présente comme sa nouvelle collaboratrice. Après quelques coupes de champagne et d’exquis canapés, nous passons à table. Je suis assise entre un notaire ventripotent qui essaie de me faire du genou sous la table et un ex-directeur de société, alerte septuagénaire, qui tente de m’initier à l’art moderne. Mon boss, dont je croise souvent le regard, se rend bien compte que ce genre de mondanités ne m’amuse guère. Après avoir méchamment griffé la cuisse du notaire entreprenant et sensiblement progressé dans ma culture en art non figuratif grâce au retraité, le dîner s’achève et nous nous éclipsons. Mon patron fait quelques centaines de mètres, puis arrête son véhicule au bord du bois. Il se retourne alors vers moi et me dit : — Merci, Élodie, de m’avoir accompagné à ce dîner. Je sais comme il était rasoir, je voulais qu’ils voient comme vous êtes belle. Sur ce, il pose sa main sur mon genou. Je me doutais bien que cela allait arriver, mais jusque là je n’avais senti que ses yeux sur moi. Je n’ai pas bien compris le sens de sa dernière phrase, et me dis que je devrais ôter sa main. D’étranges pensées traversent mon cerveau, je n’ai jamais trompé Thomas que j’ai connu il y a deux ans, je n’ai jamais fait l’amour avec un homme de l’âge de mon boss, est-il possible de griffer son patron, etc. ...
    ... comme si mes pensées s’étaient détachées de mon corps. Bien entendu, la main sur mon genou s’active et, avec une lenteur presque exaspérante, remonte le long de ma cuisse. Elle est à la fois ferme et douce, et des frissons courent le long de ma peau vers mon ventre. Je ne peux résister, entrouvre un peu les jambes et ferme les yeux. Ses doigts sont arrivés à la limite de mon string, et je sens l’air frais lorsqu’il remonte ma jupe sur mon ventre. — Comme ta féminité est belle à travers ce voile noir, me dit-il penché sur moi, ta fente s’ouvre à moi, j’aime les petites haies blondes qui l’encadrent, regarde-toi vibrer, Élodie ! J’ouvre les yeux, et vois son pouce tracer de languides arabesques autour de ma chatte clairement visible malgré mon string ; je suis essoufflée, et sursaute lorsqu’il allume le plafonnier. Je me laisse aller, sa caresse est langoureuse, les garçons de mon âge manifestent beaucoup plus d’impatience lorsqu’ils me touchent. Je distingue soudain des silhouettes autour de la voiture. Je sursaute, et crie : — Non, pas ici, devant tout le monde ! Sans éteindre le plafonnier, sans même ôter sa main, il démarre. Nous traversons le bois, et il me dit : — Élodie, ils vous ont appréciée, nous sommes suivis ! Les chevaux de la voiture rugissent, et M. Lelievre sème aisément nos poursuivants. Sa main, totalement immobile, est restée sur ma chatte, et me semble de plus en plus lourde. Je me sens devenir humide. J’ignore totalement où il m’emmène, jusqu’au moment où je ...
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