1. Recuerdos de la Alhambra


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, fplusag, hotel, voyage, amour, revede, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, amourpass, amourcach, prememois,

    ... glisse un doigt qui disparaît en partie… La regarder me met en transes. Elle continue, un second doigt… Je regarde ses yeux, ils sont rivés sur les miens. Sa langue glisse sur ses lèvres. Elle est si excitée que ses caresses ne dureront pas longtemps. Son visage se transforme. Il me semble que ses lèvres gonflent, elle se crispe : — Regarde-moi dans les yeux, je vais jouir pour toi, murmure-t-elle d’un voix un peu rauque. Son orgasme la surprend. La traverse. Son corps se tord. Elle laisse échapper des cris qu’elle essaie d’assourdir. Ses jambes se referment sur sa main. Malgré ses efforts pour garder ses yeux dans les miens, ils se ferment. Elle se replie, gémit, frissonne. — Oh ! Oh ! Je me lève pour la prendre dans mes bras, à genoux devant son fauteuil dans lequel elle s’est recroquevillée. J’embrasse ses cheveux, son visage, ses yeux. — J’ai joui pour toi, je ne pouvais pas retenir mes cris. Tu as aimé ? Laisse-moi te regarder, voir combien tu me désires. Je me recule un peu, découvrant mon sexe tendu à rompre. Je me rapproche, l’entoure de mes bras, mes lèvres parcourent son visage, embrassent ses yeux, son cou. Elle s’abandonne à mes baisers. M’offre sa poitrine, dont mes lèvres s’emparent. Elle se tourne vers moi, m’écarte et pose ses jambes sur mes épaules. À nouveau, elle découvre largement son sexe, ouvert, ruisselant. Je bois. Le nectar, le lait et le miel. Je lèche pour ne rien perdre, ma langue suit le ruisseau qui s’écoule entre ses fesses. Quand je frôle du ...
    ... bout de langue les replis de son anus, elle frémit, se laisse faire, gémit. Elle aime. Ma langue insiste, creuse. — Oui, prépare-moi… prépare mon cul… Un long moment, je reste à genoux, lapant au creux de ses cuisses le liquide qui suinte de sa vulve tandis qu’elle crispe ses doigts dans mes cheveux …"Celui qui viendra à moi assoiffé…". Et toujours ma langue suit le ruisseau, et retourne la préparer. Quand je n’y tiens plus, je l’invite à descendre de son fauteuil, je murmure à ses oreilles, comme autant de mots doux : — Viens, je veux ton cul, je veux t’enculer… Je veux que tu sentes ma queue dans ton cul… Je veux sentir ton cul me serrer. Elle descend de son fauteuil, à genoux, me tournant le dos, elle écarte les cuisses. — Viens… prend moi… Je regarde sa croupe, ses fesses, son cul, son sexe ouvert. Mes doigts frôlent son corps, sa peau, les lèvres béantes de son sexe, ils remontent vers l’anus, l’effleurent. Je me suis approché, guidant mon sexe. Quand le gland l’a touchée, elle a frémi. Elle attend, se laisse faire. Puis ses fesses viennent à moi. Mes reins poussent. Son cul résiste, elle attend, pousse. Je la veux. Tout à mon désir, je perds toute retenue. Poussant de toute la force de mes reins, je sens son corps qui cède. Je la pénètre. Mon sexe entre brutalement. Un cri lui échappe. Je suis arrêté par sa douleur : — Oh ! pardon, je ne veux pas te faire souffrir. Je ne sais si mon attention l’excite ou la met en colère, en fureur. — Continue ! Prends-moi ! Encule-moi ! ...
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