Recuerdos de la Alhambra
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
voyage,
amour,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
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amourpass,
amourcach,
prememois,
... Vas-y ! "Oh ! c’est ça que tu veux !" Quelques mots qui me traversent la tête. Soudain énervé. Presque en colère, aussi. Fâché, exaspéré contre elle, de vouloir tant ce que je voulais, de son irritation, de sa déception peut-être. Ce qui suivit peut à peine se dire… Je la chevauche. Je lui enfonce ma queue d’un coup violent, jusqu’à la racine, non sans en souffrir un peu. L’entendre râler transforme mon élan en fureur… Mon cerveau ne me transmet plus que mon désir, mes pulsions animales, brutales. Pure frénésie, jouissance tirée des râles de cette femme que je craignais de faire souffrir. Ma queue laboure son cul. Ses cris relancent ma fureur. Elle les étouffe dans la serviette que je lui avais donnée, trempée de ses sécrétions. Mes reins, mes mains, mes cuisses. Ses hanches, ses reins auxquels je m’accroche pour mieux assouvir cette frénésie qui me déborde. Conscience confuse de la grâce et de la souplesse de son corps. Basculement progressif des sensations. Le plaisir s’instille dans la fureur, la métabolise, prend le contrôle… Malgré moi, j’écoute nos corps, le mien, le sien. Mes couilles s’écrasent sur ses fesses. Mes élans se règlent, se rythment. Toutes mes sensations conduisent à ma queue, qui enflamme ce me qui reste de conscience de ce que je fais. Mes mouvements s’imprègnent des siens, mes sens communiquent avec ses désirs. Nos corps exsudent le désir par toutes leurs pores. Mon plaisir s’augmente du sien… Le fauteuil se dérobe, nous tombons tous deux. Les jambes ...
... enlacées. Mes jambes se nouent sur ses cuisses qui se dérobent. Je la sens proche de l’orgasme. Ses mains se crispent sur la serviette qu’elle garde devant sa bouche, qu’elle mord. Je laisse mon corps s’abandonner au plaisir qui monte irrésistiblement. Gémissements hachés, saccadés, de plus en plus aigus. Tension de ses membres, paroxysme suspendu de son attente. Volonté de retarder l’instant. Interstice fulgurant dans la conscience, bref temps de contrôle, réglant l’attente. Brutal aveuglement des sens saturés. Nous explosons simultanément. Cataclysme des corps. Contractions. Détentes. Une extase fulgurante illumine mes neurones, les éblouit, les carbonise. Le plaisir comme une lave. Qui se répand, tordant les muscles et les nerfs. Nos gémissements se répondent. Je mords son épaule. Ses fesses s’incrustent dans mon ventre. Les spasmes de mon orgasme retentissent dans son ventre. Mon sperme s’y écoule. Mon ventre se colle sur ses fesses. Nous partageons notre jouissance en cherchant à la prolonger. Nous nous dénouons. Nous nous retrouvons. Sa bouche cherche la mienne. Je me retire. Des frissons me secouent. Ébranlent son corps, qui cherche encore le mien. Ses fesses contre mon ventre, écrasant mon sexe, maintenant repu et flasque. L’alanguissement des corps a dissout la fureur et jusqu’à son souvenir. Nous émergeons lentement. Ensemble, séparément, nous revenons dans le temps, près du fauteuil renversé, de la table, dans la chambre… L’obscurité nous rappelle que le temps a ...